Pour une nuit d'amour

D’abord, certains personnages ne peuvent contrôler leurs natures profondes. D’abord, Thérèse et Colombel ne peuvent* dompter leur pulsion violente*. Comme lorsqu’ils étaient enfants, ils ressentent une envie irrésistible de se faire du mal entre eux, de se brutaliser et de s’injurier. Maintenant qu’ils sont devenus adultes, leur relation n’à pas changer excepter pour une forme d’amour qu’ils ressentent envers l’autre.

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L’emphase est mise sur le besoin qu’ils éprouvent de se faire cela. Puisque c’est répété, cela démontre qu’ils sont esclaves de cette pulsion agressive, qu’ils ne puissent s’en empêcher ou s’en passer. Puisque* personne ne doit être au courant de la relation qu’ils entretiennent, ils doivent* se faire discrets et ils tentent de ne rien laisser paraitre devant les autres, comme leurs familles. Une pulsion est incontrôlable et parfois animale, ce qui dépend les deux amants. Ils se chamaillent physiquement sans limites et sans la peur de blesser l’autre.

Ensuite, Colombel n’est pas le seul à apprécier la belle Thérèse. Julien, le postier, a été saisi d’une pulsion amoureuse envers la jeune femme. Depuis qu’elle est revenue vivre chez ses parents, Julien l’a regardé par sa fenêtre et il s’en amourache. Il en devient presque obsédé et il commence* à l’espionner constamment. Étant timide et se trouvant* laid, il n’ose pas aller à sa rencontre.

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Lorsqu’il se meurt pour elle, cette hyperbole démontre que son existence a pris fin tant il est en amour et qu’il ne dépend que du regard qu’a Thérèse à son égard. Sa vie a été* interrompue, il a perdu son réalisme, il n’est plus conscient de la réalité. Son être a besoin d’aimer et d’être aimé, il ne peut s’en empêcher. Quelque chose le force à aimer et à idolâtrer Thérèse. Bien qu’elle est décrite comme étant très belle, il y a quelque chose* qui le pousse vers elle sans raison, puisqu’il ne lui a pas parlé et qu’elle se montre froide et méprisante à son égard*.

Enfin, Thérèse, Colombel et Julien ont des pulsions irrépressiblement brutales et sentimentales.

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