Phèdre théâtre

L’œuvre qui nous est présenté se nomme Phèdre. L’extrait de la pièce de théâtre de Jean Racine que nous devions analyser s’intitule « un aveu involontaire ». Lors de cette pièce, suite à plusieurs tentatives échoués, Phèdre se reprend de plus belle enfin de dévoiler ses sentiments à Hippolyte. C’est en 1636, à Paris que cette pièce à été publié, nous avons donc pu constater que Phèdre est victime de ses passions. Alors, le point que j’ai du analyser est son destin funeste.

Développement argumentatif

[I.] Une passion irrépressible

[II.] Une héroïne pathétique

III. Un destin funeste

Lors de ma lecture du texte, j’ai pu constater que Phèdre avait un destin funeste. Dans un premier temps, nous pouvons constater que Phèdre est amoureuse d’Hippolyte. Nous l’avons premièrement constaté lorsque Phèdre lui dit : « [venge-toi, punis-moi d’un odieux amour» (l. 33). Lors de cette affirmation, Phèdre utilise l’hyperbole pour mieux se faire comprendre, elle veut exagérer son amour pour Hippolyte. Deuxièmement, quand Phèdre dit : « [t]u me haïssais plus, je ne t’aimais pas moins […] J’ai langui, j’ai séché dans les feux» (l. 22 et 24). Elle utilise la Métaphore afin de montrer la continuité de sa peine lorsque dit «j’ai langui». Ensuite, lorsqu’elle nous parle qu’elle a «séché dans les feux», elle veut nous montrer l’ardeur de son amour. L’hyperbole et la métaphore nous prouve à qu’elle point Phèdre est amoureuse. Dans un deuxième temps, Phèdre nous démontre que les dieux ont beaucoup de pouvoir. Pour débuter, Phèdre nous fait voir que « [l]es dieux qui dans [s]on flanc Ont allumé le feu fatal à tout [s]on sang» (l. 13-14). Lors de cette affirmation, elle utilise la métaphore dans le but de bien nous faire entendre que les dieux on fait des victimes de l’amour dans sa famille. Par la suite, Phèdre nous exprime que « [l]es dieux […] se sont fait une gloire cruelle De séduire le cœur d’une faible mortelle» (l. 15-16). Elle a choisi l’antithèse pour nous dire que les dieux ont tout le pouvoir de tromper qui ils veulent. Donc, la métaphore et l’antithèse nous on bien prouvé que les dieux ont plus de pouvoir. Pour terminer, Phèdre qui est totalement amoureuse d’Hippolyte lui donne toute décision sur son avenir et les dieux qui cherchent à faire le mal nous prouvent qu’elle est vouée à un destin funeste.

Conclusion

Pour conclure, c’est en analysant l’extrait : « Un aveu involontaire» que j’ai pu voir qu’elle est effectivement vouée, à cause de son amour et à cause des dieux, à un destin funeste. Nous pouvons continuer la lecture de cette tragédie avec la pièce de théâtre au complet, qui s’intitule «Phèdre». Cette pièce comporte 7 scènes et 5 actes. Alors, pour les passionnés de théâtre, je les incite à se procurer «Phèdre».

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