Paragraphe Corpus Sur La Dimension Formelle De La Poesie

Dans un premier temps, nous allons voir que les textes poétiques obéissent à des règles formelles.

On constate que les textes présent obtempèrent a des conventions qui vont directement influencer la tournure du texte, resserrer le sens, et concentrer les effets. On observe en premier lieu que les poèmes sont composés de manière visuellement particulière. Celui de Verlaine, « Chanson d'automne » est construit sur des rejets et des enjambements qui dégage une cadence de la lecture raboteuse. Le second, lui est un sonnet de Louis Labé, il est construit avec deux tercets et deux quatrains, il obéit lui aussi à une règle évidente, il est disposé en strophe et on constate dés la première lecture que le dernier tercets fait en quelque sorte la synthèse du poème. On voit donc que ces deux poèmes obéissent a des conventions visuelles universelle. On constate également que les textes obéissent a d'autres règles graphiques telles que la versification. En effet on voit que dans le poème « Notre vie » de Paul Eluard est construit sur des Alexandrins qui donne un effet de régularité, mais aussi turlupinant et de lassitude quand on lit le texte aux premiers abords. « Chanson d'automne » est construit sur des vers binaire avec quatre ou trois syllabes, cela rend le poème plus stable tout en restant en opposition avec les enjambements, sa conduit à lire le poème de manière musicale, sous forme de ballade. On retrouve ensuite d'autres caractéristiques qui ramènent un texte à la poésie tel que l'assonance, qui permet à l'auteur d'accentuer des émotions ou de mettre en évidence. Le poème verlenien comprend une allitération en « l », par exemple « les sanglots longs des violons, de l'automne », permet à l'auteur de créer cet effet d'appui, tout comme le texte en prose avec l'anaphore « d'un rouge qui serait bleu, d'un dehors qui serait un dedans, d'un tout cela qui serait un corps que des mains » qui donne de l'importance a la comparaison. Le mot à la rime aussi à une importance, on constate notamment dans le deuxième poème que la rime est très révélatrice de la dureté,la pénibilité, le malheurs avec « froidure », « dure », « endure », « douleur ».

Nous avons également le même effet dans le premier poème avec « l'automne », « monotone »,  « pleure » qui renvoient à la mélancolie.

Pour conclure on peut dire que la poésie à des règles formelles qui visent a resserrer le sens et faire passer des émotions.

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