PLan Du Survenant

Plan du Survenant

Peut-on affirmer que cet extrait du Survenant de G. Guêvremont illustre la fin de l’idéologie du terroir?

1. Selon le Survenant, la vie d’un habitant prive l’homme du monde.

1.1 Le personnage du Survenant critique les habitants de Chenal du Moine de se priver de la liberté en restant attaché à leur terre agricole.

Preuve: «Non! vous aimez mieux piétonner toujours à la même place, pliés en deux sur vos terres de petite grandeur, plates et cordées comme des mouchoirs de poche.» ( L. 13 à 15)

1.2 Il fait observé leur refus au changement de leur attachement excessif à la tradition.

Preuve: « Si un oiseau un peu dépareillé vient à passer, vous restez en extase devant, des années de temps. » ( L. 16-17 )

2. Dans cet extrait, le narrateur omniprésent abaisse le point de vue du Survenant sur le nomadisme.

2.1 Le narrateur compare le Survenant et sa vision du monde à un alcoolique ivre.

Preuve: «Il était ivre, ivre de distance, ivre de départ.» (L. 25-26)

2.2 Selon le narrateur omniprésent, qui est la foix du terroir, le nomadisme n’est qu’une illusion.

Preuve: « l’inlassable pèlerin voyait rutiler dans la coupe d’or le vin illusoire de la route, de grands espaces, des horizons, des lointains inconnus.» ( L. 26 à 28 )

3. Les modes de pensée du nomadisme et du sédentarisme se confronte sur la vision de la nature et de la terre.

3.1 Le Survenant, qui représente le nomadisme, voit la nature comme quelque chose de riche, changeant et libre.

Preuve: « de se lever avec le jour, un beau matin pour filer fin seul, le pas léger, le coeur allège, tout son avoir sur le dos. » ( L. 12-13 )

3.2 Pour la population de Chenal du Moine, qui représente les traditions du terroir, la terre permet la subsistance et le rassemblement.

Preuve: « Soudainement, il sentit le besoin de détacher sa chaise du rond familier» (L. 4)

Paragraphe 1

Premièrement, selon le Survenant, la vie d’un habitant prive l’homme du monde. Le personnage du Survenant critique les habitants de Chenal du Moine de se priver de la liberté en restant attaché à leur terre agricole; «Non! vous aimez mieux piétonner toujours à la même place, pliés en deux sur vos terres de petite grandeur, plates et cordées comme des mouchoirs de poche.» ( L. 13 à 15) Cette extrait démontre l’immobilisme des habitants du Chenal du Moine comme une grande erreur, car cette façon de penser les prive à la fois de leur liberté, mais aussi des connaissances qui découle du monde extérieur à leur village. L’énumération et la comparaison, que contient l’extrait, révèle le mépris du Survenant qu’il possède envers la méthode

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