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Nais MICOULIN - imaginez une suite

Dissertation : Nais MICOULIN - imaginez une suite. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Janvier 2018  •  Dissertation  •  526 Mots (3 Pages)  •  1 051 Vues

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Un bruit assourdissant provenait de la salle 4 où Nais micoulin était jugée pour le meurtre de son père. Ce sont les curieux et badauds qui caquettent à qui mieux mieux. Soudain le silence s’abattit sur la salle et tous les regards convergeaient vers la porte du fond; Nais venais de pénétrer dans la salle entourée de deux gendarmes à l’air revêche. Elle ne baissait pas la tête comme les autres condamnés, au contraire son regard serein toisait la foule. Ses deux geôliers la placèrent dans le banc des accusés. Soudain, le bâtonnier fit signe au gens de se lever car le juge arrivait. C’était un homme imposant avec sa longue robe noire et sa perruque blanche. Il avait un visage impassible et rubicon d’où ressortaient deux petits yeux noirs sous des sourcils broussailleux. “L’audience est levée !” s’écria-t-il.

“ Accusé Nais micoulin, levez vous ! Qu’avez vous à dire pour votre défense? “ déclara le juge.

Dans la foule les gens criaient, des noms d’oiseaux fusaient dans tous les sens, tout comme les : “meurtrière, monstre, comment a-t-elle pu assassiné son ascendant direct…” Mais le juge réclamait le silence et tout le monde se turent immédiatement pour laisser place au jugement.

Nais qui ne voulait pas terminer ses jours en prison pour un crime qu’elle n’avait pas commis avait préparé un discours avec l’aide de Frédéric pour être sûre d’être innocentée:

“Bien sûre que j’aimais mon père, jamais je n’aurais pu penser qu’un jour une tel chose arriverait. Pour sûre si ça avait été moi et que je voulais assassiner mon père, pourquoi aurais-je attendu ce moment, j’avais tellement d’autre moment bien meilleurs que celui-ci pour réaliser l’infraction suprême tel que la nuit pendant son sommeil ou encore j’aurais pu l’empoisonner au moment du dîner que je préparait moi-même, alors je vous demande pourquoi aurais-je assassiné mon père, je vous le demande ? En plus de tout ceci, Toine et Frédéric ont bien vu que je me tenais trop éloigné pour tuer mon père!”

Elle ne laissait toujours aucune émotion paraître sur son visage, se qui malheureusement l’a perdu lorsqu’une femme dans l’assemblé hurla : “ Elle ne verse aucune larme pour son père, exactement comme le jours où il est mort! Je l’avais vu!”

À ce moment exacte, chaque personne de la foule commencait à huer Nais, nombreux furent les : “menteuses, quel manque de respect, comment peut-on la croire…”

Le procureur effaré, réclamait le silence à son tour et tout en étant déstabilisé d’une part par la compétence de Nais et d’autre part par la foule, il choisi de se ranger du côté des plus nombreux. Il demanda ainsi la peine capitale en rendant Nais coupable d’homicide volontaire sur la personne de Michel Micoulin, né en 1837, ainsi que de parjure à la cours.

Mais à l’instant où le juge voulait tapé du marteau sur son socle, les portes de la salle s’ouvrirent brusquement laissant deviner la silhouette de Frédéric qui venait spécialement du faubourg pour sauver Nais du sort qui lui était réservé grâce à ses connaissances libérales et son influence.

Après maintes arguments de la part de Frédéric, Nais fut désignée tel qu’elle l’espérait, c’est à dire, non coupable

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