Mme Leprince de Beaumont, La Belle et la Bête (1757), “scène de rencontre”

Mme Leprince de Beaumont, La Belle et la Bête (1757), “scène de rencontre”

Intro : La Belle et La Bête conte extrait du recueil Magasin Des Enfants. /Insérer une courte biographie sur Madame Leprince de Beaumont/

        -> Le Monstre

*La bête est terrifiante

• Narrateur utilise le substantif “monstre” et le nomme d’après son physique comme pour la belle -> périphrase
• Champs lexical de la peur et de l’apparence
• “Je suis un monstre” présent de vérité générale = la Bête l’affirme lui même
• Réaction de la Belle qui a peur (notamment réponses courtes)

*La bête a un physique d’animal

• Termes propres aux animaux “sifflement si épouvantable”

        -> Préjugés

*Belle dépasse les préjugés

• Préjugé : idée reçu qui appelle à l’émotion et à l’instict plutôt qu’à la raison
• La belle trouve la bête repoussante au début mais dépasse les préjugés little by little “ne me paraissez plus si laid” => modalisateur

*La Bête est humaine

• Vocabulaire humain (il a du chagrin et de la bonté)
• Belle ressent des émotions pour lui (compassion)
• Le narrateur emploie l’argumentation indirect, les modalisateurs et des termes subjectifs (“pauvre bête”) pour que l’on puisse trouver la bête moins monstrueuses

        -> L’apologue

*Texte didactique

• Propos de Belle, présent de vérité général et pronom indéfini “on”, donne des leçons
• Paradoxe = certains H sont monstres et la bête est H = différence entre monstruosité morale et physique

CONCLU : La beauté intérieur prévaut à la beauté extérieur. -> ouverture cinématographique sur La Belle et la Bête, Jean Cocteau qui montre l’humanité de la bête avec les yeux humains de Jean Marais percevable derrière le masque de la Bête.

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