Lorenzaccio Analyse Affiche

I) Oui cette affiche rend compte de a complexité du personnage de Lorenzo

1) masque :-énigmatique/gris=indécis

Enigamatique Son évanouissement est il réel ? Tous le croie à l’exception notable du cardinal Cibo qui par deux fois en doute . « hum.C’est bien fort »

hésitant Acte Iv, scène 4 Apres avoir donné rendez vous à Scoroncolo pour minuit, Lorenzo,resté seul, s’interroge sur ses motivations . Pourquoi tuer Alexandre qui , s’il « a fait du mmal aux autres », ne lui a fait à lui que du bien ».

nez : mensonge

yeux : désenchantement de Lorenzo .

A philippe Strozzi qui le regarde comme un grand homme assuré d’avoir une place dans l’Histoire ,il réplique désabusé « Je ne ni pas l’Histoire, mais je n’y était pas »

éclat des yeux, point blanc : un passé glorieux

Le rappel, par mère de sa jeunesse généreuse, cultivé. I,6 « rentrer de son collège, avec ses

gros livres sous le bras, mais un saint amour de la vérité brillait sur ses lèvres et dans ses yeux noirs; il lui fallait s'inquiéter de tout, dire sans cesse: "Celui-là est pauvre, celui-là est ruiné; comment faire?" Et cette admiration pour les grands hommes de son Plutarque » /III,3 Le meurtre d’Alexandre est tout ce qui lui reste de ses idéaux de jeunesse. C’est sa revanche sur tout ceux qui le couvrent de « boue » et d’ « infamie ».

sourcil : part de féminité de lorenzo

« femmelette » « Lorenzetta » acte I,scène 4

2) épée

Lorenzo sans cesse tiraillé entre ce qu’il veut être et l’image qu’il donne. Le décalage entre interiorité creuse et apparence trompeuse (corps,habits) et clairement reconnu. « Non, en vérité ; je porte les mêmes habits, je marche toujours sur mes jambes, et je bâille avec ma bouche ; il n’y a de changé en moi qu’une misère : c’est que je suis plus creux et plus vide qu’une statue de fer blanc. »V,7 / acte II,scène 4 Bindo et Venturi sondent Lorenzo sur ses intentions républicaines :est il oui ou non républicain ? Lorenzo proteste de ses convictions républicaines mais sur un ton qui laisse sceptique . La encore il y a décalage entre ses propos non crus et le tyrannicide ./ décalage entre ce qu’il dit et ce qu’il fait « cracher dans un puit pour faire des ronds »I,6/ III,3 Selon Lorenzo l’humanité se divise en deux catégories,les débâuchés qui ne se révoltent jamais, et les vertueux qui redoutant de mal agire n’agissent pas / Sa jeunesse était pure et vertueuse mais sa vie d’homme est devenu dépravée. Le vice a été pour lui un vêtement qui maintenant lui colle à la « peau ». Lorenzo est devenu se qu’il feignait d’être ,Il aime désormais trop « le vin ,le jeu,les femmes » III,3 / III,3 «je croyais que la corruption était un stigmate, et que les monstres seuls le portaient au front. j’avais commencé à dire tout haut que mes vingt années de vertu étaient un masque étouffant; à Philippe ! j’entrai alors dans la vie, et je vis qu’à mon approche tout le monde en faisait autant que moi ; tous les masques tombaient devant mon regard ; l’humanité souleva sa robe et me montra, comme à un

Le double arrachement de Lorenzo. A venise dans le cabinet de Strozzi, Lorenzo a l’impression de subir un double arrachement, car d’une part,il quitte une ville qu’il a débarassée

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