Littérature engagée et l’absurde

La littérature engagée et l’absurde

Origines de la littérature de l’absurde :

Au milieux du 20ème :

-les horreurs de la guerre

-la sensation d’impuissance et d’irrationalité

nourrissent une angoisse > exprimé par la littérature de l’Absurde

Le théâtre de l’Absurde

Année 50 → apparition du théâtre de l’Absurde (emprunté au théâtre de la pièce d’Alfred Jarry

Les caractéristiques de ce théâtre se déclinent en trois points :

→ disparition de toute illusion réaliste (personnage sans consistance, le temps et l’espace se dérèglent)

→déconstruction du langage ( les dialogues ne servent plus à communiquer et les mots perdent leur sens, Eugène Ionesco, La cantatrice chauve (1950)

→l’expression d’une angoisse (les œuvres révèlent le vide de l’existence, et l’angoisse d’un monde sans dieu), Samuel Beckett, En attendant Godot (1952), Eugène Ionesco Le roi se meurt (1962), Jean Paul Sartre La Nausée (1938)La nausée

La littérature engagée

La Résistance se traduit aussi par l’écriture durant la seconde guerre mondiale, tous les genres sont convoqués :

-le roman : Albert Camus, La Peste (1947) montre que seul l’union fraternelle permet de combattre les fléaux. André Malraux milite et publie La Condition humaine (1933) dans lequel il soutient le front populaire qui s’oppose à Franco.

-le théâtre : est le lieu de débats philosophiques et politique. Antigone (1944) de Jean Anouilh, Les mouches (1943) de Jean Paul Sartre, posent par le biais du mythe ou de l’allégorie, le problème de la liberté face au pouvoir politique.

-la poésie : les poètes de la résistance célèbrent la France et ses combattants : « la rose et le réséda » (1943) de Louis Aragon, « Liberté » (1942) de Paul Eluard

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