Les objets, une voie vers le bonheur?

"Les objets, une voie vers le bonheur?"

Un objet est une chose que l'ont peut toucher matériellement, c'est aussi une chose qui à été créée par l'Homme tel que la tour Eiffel à PARIS, par exemple le culte représente une chose importante autrement dit la tour Eiffel est un objet culte. Il faut aussi savoir qu'un objet est une chose mais toute chose n'est pas forcément un objet. Ici nous pourrons nous demander : Es ce que les objets apporte le bonheur ou pas ? Afin de répondre au mieux à cette problématique nous nous appuierons sur le plan suivant : Dans une première partit nous étudierons l'aliénation positive face aux objets puis dans une seconde et dernière partie l'aliénation négative face aux objets.

L'objet peut être considéré comme une aliénation positive pour certaines personnes, autrement l'objet est rapproché au plaisir, comme dans le roman "la Nausée" de Jean-Paul Sartre ou le protagoniste ce réjouis de voir une page arraché d'un cahier d'école "Je me suis baissé, je me réjouissais déjà de toucher cette pâte tendre et fraiche qui ce roulerait sous mes doigt en boulettes grises...". En outre dans le roman de Michel Houellebecq "La Carte et le Territoire" le plaisir qu'éprouve l'auteur face aux objets devient démesuré "j'aurais connu trois produits parfaits : les chaussures Paraboot Marche, Le combiné ordinateur portable-imprimante Canon Libris, le parka Camel Legend". Ces attachements au objets dans ces deux romans représente le plaisir physique et la sensualité face à ceux-ci car le faite de les posséder les réjouis.

L'objet peut être un plaisir pour les personnes qui en possède, mais à force de voué un culte à ceux-ci, ils en deviennent un besoin autrement dit, posséder ces objets sont une nécessité. Dans le roman d'Octave Mirbeau "Le Journal d'une femme de chambre" l'auteur voue un culte aux objets, ce n'est plus du plaisir mais en devient une nécessité "J'avais peur, car il venais de passer dans ses yeux des lueurs troubles ... des nuées rouges de spasme... Et des gouttes de sueur roulaient sur son front...". Dans le roman de michet Houellebercq dans "La Carte et le Territoire" l'objet est demeure important "et dans le cas de ma pauvre parka Camel Legend, sans doute la plus belle parka jamais fabriquée, elle n'aura vécu qu'une seule saison.... Il se mit à pleurer, lentement, à grosses gouttes, se resservit un verre de vin". Pour l'Homme au départ l'objet est un plaisir mais à trop le convoité, il en devient une nécessité ou on ne peut plus ce passé de celui-ci, ce qui mène à la dépendance autrement dit le plaisir fétichisme.

L'objet pour l'Homme peut devenir un plaisir qui ce rapproche au fétichisme, en effet dans le roman d'Octave Mirbeau dans "Le Journal d'une femme de chambre" Monsieur Rabour s'adonne au fétichisme de ces bottines "Oh! Marie... Marie... tes petite bottines... donne-les moi, tout de suite... tout de suite... tout de suite... Je les veux tout de suite... donne-les moi..." L'obsession qu'il à pour les bottes est une attirance sexuel, par conséquent il voue un culte sexuel au objet. Il en est de même dans le roman de Michel Houellebecq ou l'auteur voue aussi un véritable culte aux objet qui en devient aussi du fétichisme "C'est brutal, vous savez, c'est terriblement brutal. Alors que les espèces

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