Les moralistes

Rappel : 

• Acte 2,sc 1 :

Se distingue d’action vertueuse

• A3,sc3 :

DS arrive déguisé en valet 

• A3,sc5 à retenir :
• Acte IV : expression d’inquiétude

Scène 2 acte 3 :

Comment se monologue parodique fait rire le spectateur en lui inspirant l’horreur de l’acte final ?

• entrée comique
• Première didascalie offre transition entre tragique et grotesque
• Alexandrin coupé en deux : tragique à comique
• Grimaces de la comédie
• Prise de position comique dans la maison
• Parodie des personnages présente
• Écouter audio « Lectu »

Plan de commentaire ; Reprise : scène 2 acte 4

• On est au tout début de l’acte 4, vient de s’ouvrir sur un quasi monologue de RB ( monologue = seul sur scène ; ici on a le page ).
• Scène 1, résolution du sauvetage de la reine
• RB va faire prévenir la reine de ne pas sortir pendant 3j
• À la faveur de la solution trouvée par RB, la tension des spectateurs s’est relâchée.
• Nous n’aurions pas pu avoir cette scène sans le monologue de RB dans la scène précédente

I) Une péripétie ( revirement de situation assez totale et inattendue ) inattendue qui fait l’effet d’une « bombe »

1. Une tension entre le tragique et le comique / Un contraste / un relâchement / Une scène-intermède conforme à l’esthétique romantique

La première partie sert à identifier la nature de la scène sur le plan technique avec grandes techniques d’analyses : monologue, intermède, dénouement, —> on va procéder en entonnoirs

V.H va définir une esthétique de contraste dans le préface de Cromwell, où il a recette de la finalité de la pièce : noblesse, richesse, … « le sublime sur le sublime produit malaisément un contraste, et l’on a besoin de se reposer de tout, même du beau. Il semble au contraire que le grotesque soit un temps d’arrêt, un terme de comparaison, un point de départ où l’on s'élève vers le beau avec une perception plus fraîche et plus excitée. » V.H ménage souvent le burlesque dans son théâtre : monologues de RB en début et en fin de pièce : acte 4 scène 1 et acte 5 scène 1

1. 2ble lecture / L’utilisation du métathéâtre / une dimension métathéâtrale revendiquée mais discrète

V.H a le cran de placer dans la bouche de DC, à quel point cette scène fait contraste aux scènes précédentes en plaçant des termes métapoétiques. Ici, il s’agit de métathéâtre. L’effet de choc est infligé par V.H. La scène tout entière est bien cette bombe que DC décrit au vers 1645. Vers 1640/44 dans lesquels DC envisage la réaction des personnages face à son retour. Malgré l’effet de Bombe du retour de DC, tout était préparée par à la scène précédente et amenant un quiproquo.

II )

1. Un découpage à caractère croissant d’analyse de l’œuvre / Une construction de la microstructure qui favorise la surprise

L’exposition de la structure : vers 1568-1573 : préambule, entrée scpatcatulaire DC

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