LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Les Personnages Dans Les Paysans De Balzac

Mémoire : Les Personnages Dans Les Paysans De Balzac. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Octobre 2014  •  1 941 Mots (8 Pages)  •  2 691 Vues

Page 1 sur 8

François Gaubertin : marié et 3 enfants (Jenny, Claude, Elise) (135-163…)

(136-) Fils de l’ex-bailli de Soulanges, chef-lieu de canton.

FG est comptable pendant 5 ans pour l’ancien intendant, en place 30 ans. Celui-ci propose FG comme régisseur, afin de protéger sa retraite. Il devient ensuite fournisseur des vivres de la République.

Le père de FG, ancien bailli, devient Accusateur public au département. Il organise une fausse émeute contre les Aigues de Mademoiselle Laguerre, afin que FG puisse la sauver du péril. Celui-ci obtient de Mlle Laguerre un quitus (=une décharge de responsabilités pour sa gestion des affaires) pour l’ancien intendant.

FG, grâce à son père, est nommé maire de Blangy.

De 1792 à 1795, FG récolte 150'000 livres aux Aigues avec lesquels il opère sur la place à Paris.

1796 : mariage de FG avec Isaure Mouchon, fille d’un ancien conventionnel ami de son père. FG possède 350'000 francs en argent. Il obtient de Mlle Laguerre son approbation pour ses 5 ans de gestion.

1797 : Mlle Laguerre perd 2/3 sur 60'000 francs de rente (réduction de 2/3 de la dette publique prononcée = banqueroute partielle).

La Cochet : femme de chambre de Mlle Laguerre, qui se partage le bénéfice des vols avec FG. Mlle Laguerre lui a prévu 60'000 francs dans son testament.

20 jours après la mort de Mlle Laguerre, elle épouse Soudry, le brigadier de la gendarmerie de Soulanges. Très bel homme de 42 ans, il était auparavant fourrier dans l’artillerie, avait été blessé dans une affaire en défendant monsieur de Soulanges, alors adjudant-général. Celui-ci, devenu colonel, avait demandé pour lui la brigade de Soulanges, lors de la création de la gendarmerie. Il possédait la plus belle maison de Soulanges, 6'000 francs + espérance de 400 francs de retraite.

Mme Soudry et FG ont mis leurs économies chez Leclercq, commissionnaire des marchands de vin du département, situé au quai de Béthune, à l’île Saint-Louis à Paris.

M et Mme Soudry ont reconnu comme fils légitime un fils naturel de M Soudry, qui plus tard fait des études de droit.

Après 25 ans de gestion, FG possède 600'000 francs en argent et la Cochet 250'000 francs.

Jenny, fille aînée de FG, épouse Leclercq, à la mort de Mlle Laguerre. FG veut devenir le maître des Aigues grâce à un complot ourdi dans l’étude du notaire Lupin, établi par FG à Soulanges depuis 11 ans. Lupin, fils du dernier intendant de la maison de Soulanges. Lupin vend sa charge d’avoué à FG pour son fils.

Le général de Montcornet achète les Aigues, malgré les plans de FG, Lupin, Mme Soudry. Lupin avait fait des expertises, sous-estimant de moitié le château. Mais Montcornet en voulait trop et ils n’avaient pas pu suivre.

FG n’est plus assez riche pour ne plus être intendant, car il marie Jenny au banquier de l’Entrepôt, et doit la doter de 200'000 francs. Il paie 30'000 la charge achetée pour son fils Claude. Il ne lui reste donc que 370'000 francs. Et il compte aussi arranger un bon mariage à sa fille cadette, Elise.

Montcornet fait semblant de ne pas voir les magouilles de FG, puis, une fois la gestion des Aigues bien connue, il renvoie FG qu’il a surpris la main dans le sac. Le général veut le traîner devant la police correctionnelle, mais cela fait rire FG.

Depuis 2 ans, le beau-frère de FG, Gendrin, longtemps juge au Tribunal de 1ère instance à La-Ville-aux-Fayes, en était devenu le président, grâce à la protection du comte de Soulanges.

Le jeune Soudry, camarade à Paris et aux Aigues de Gaubertin fils, est nommé substitut du procureur du roi dans le chef-lieu du département, grâce à Monsieur de Soulanges.

Maréchal : avoué, que son ancien patron, qui gérait les affaires du général à Paris, avait recommandé au général et qui n’avait pas osé parlé du complot Soudry, FG, Lupin lors de la vente des Aigues, de peur de se faire trop mal voir dans la région, est lié à FG par ce silence complice.

Adolphe Sibilet (155) : parent de FG et fils aîné affreux (sur 5 enfants) du greffier du Tribunal de La-Ville-aux-Fayes, clerc de notaire, sans le sou, 25 ans, est amoureux d’Adeline, la fille unique de Sarcus, le juge de paix de Soulanges, qui avait épousé une fille sans fortune, la sœur aînée de M. Vermut, l’apothicaire de Soulanges. Sarcus, veuf 3 ans avant que sa fille n’épouse AS, ne possédait que sa maison et 100 écus de rente.

Sibilet avait obtenu une place au cadastre, grâce à son père et à FG. De son mariage, Sibilet avait eu 2 enfants en 3 ans. Comme Sibilet père et son beau-père n’étaient pas en mesure de l’aider, Sibilet devait courir le pays et sa femme vivait souvent chez son père avec ses 2 enfants.

Adeline Sarcus, avant d’épouser Sibilet, aimait le beau Amaury Lupin, fils du notaire de Soulanges. Or son père visait pour lui Elise Gaubertin. Il l’avait envoyé à Paris où il avait fait des folies et contracté des dettes. Adeline avait épousé Sibilet par désespoir.

AS, qui ne gagnait pas grand-chose (1'200 francs), était venu trouver FG pour avoir des conseils. Celui-ci lui avait parlé de son ancien poste d’intendant. Il l’avait obtenu, fin automne 1817, grâce à la complicité de tous ceux à qui Montcornet avait demandé des renseignements.

(163)

1818 : le général ne va pas aux Aigues.

Début 1819 : mariage du général et de Mlle de Troisville.

Mai 1820 : le général revient aux Aigues.

Guerbet, percepteur de Soulanges, frère du maître de poste de Couches, est allié aux Gaubertin et aux Gendrin.

FG est à la tête du tiers environ de l’approvisionnement du bois de Paris. Agent général du commerce des bois, il dirige les exploitations en forêt, l’abattage, la garde, le flottage, le repêchage et la mise en trains.

FG est maire de La-Ville-aux-Fayes, siège de la sous-préfecture.

Courtecuisse (181) : garde champêtre des Aigues. Ne pense qu’à son confort, paresseux. De mèche avec FG. Le général le licencie et le remplace par Groison (185).

Rigou (183) : ancien bénédictin qui s’était marié avec la servante de l’ancien curé de Blangy. Il est maire

...

Télécharger au format  txt (12.4 Kb)   pdf (131.8 Kb)   docx (13.8 Kb)  
Voir 7 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com