Les Femmes Au XVIII Eme Siecle
Mémoire : Les Femmes Au XVIII Eme Siecle. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar bonjoursoleil • 8 Avril 2015 • 370 Mots (2 Pages) • 990 Vues
L’éducation
Au XVIIème siècle, 86% des femmes sont illettrées. Les femmes pauvres recevaient peu ou pas d’éducation, tandis que celles provenant de milieux plus aisés suivaient une formation au couvent. Il s’agissait d’un enseignement plutôt religieux basé sur des préceptes simples. Destinées au bon plaisir des hommes, elles apprenaient à devenir des épouses parfaites et dociles, soumises à leurs maris, et à s’occuper de leurs enfants et à assurer les tâches ménagères et domestiques. Outre la couture, la broderie et les soins d’hygiène on leur inculquait les bonnes manières ainsi que les usages du monde : danser, recevoir , jouer d’un instrument. On leur enseignait également des activités comme la couture, la broderie de même que les soins et l’hygiène. Leur éducation était volontairement négligée, car seuls les hommes avaient le droit de penser. D’après eux, une femme instruite pouvait rendre son mari cocu. Ils se méfient de leur curiosité, tout comme le fait Arnolphe avec Agnès dans L’École des femmes : « Le bouffon préfère être marié à une ignorante idiote mais fidèle et honnête que d’épouser une spirituelle et de finir cocu. » L’éducation
Au XVIIème siècle, 86% des femmes sont illettrées. Les femmes pauvres recevaient peu ou pas d’éducation, tandis que celles provenant de milieux plus aisés suivaient une formation au couvent. Il s’agissait d’un enseignement plutôt religieux basé sur des préceptes simples. Destinées au bon plaisir des hommes, elles apprenaient à devenir des épouses parfaites et dociles, soumises à leurs maris, et à s’occuper de leurs enfants et à assurer les tâches ménagères et domestiques. Outre la couture, la broderie et les soins d’hygiène on leur inculquait les bonnes manières ainsi que les usages du monde : danser, recevoir , jouer d’un instrument. On leur enseignait également des activités comme la couture, la broderie de même que les soins et l’hygiène. Leur éducation était volontairement négligée, car seuls les hommes avaient le droit de penser. D’après eux, une femme instruite pouvait rendre son mari cocu. Ils se méfient de leur curiosité, tout comme le fait Arnolphe avec Agnès dans L’École des femmes : « Le bouffon préfère être marié à une ignorante idiote mais fidèle et honnête que d’épouser une spirituelle et de finir cocu. »
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