Le vide dans le tableau de Hopper et dans L'étranger de Camus

Le vide : On peut dire que ce tableau comme le livre montrent la froideur, le vide et l’absurdité d’un univers moderne car tout d’abord, la froideur est montrée par les couleurs du tableau qui sont bleus et jaune, le bleu qui domine le tableau est une couleur froide et les teintes sombres qui sont présentes, presque sinistre et d’autres sont pales ce qui montre une banalité. Dans le livre la froideur est montrée par la manière dont Meursault parle de tout et de rien, il est distant et froid avec tout le monde et même avec lui –même, son manque de sentiments montre aussi cette froideur. Le vide est quant à lui montré par, dans le tableau les personnages ont l’air en recul face à tout, même si il parle on voit qu’il n’y a pas vraiment d’émotion, tout est dans la banalité, les trois personnages sont monotones et ternes comme Meursault dans le livre qui parle des événements avec une certaine légèreté, il étranger à sa vie et à ce qui lui arrive, on voit ce vide émotionnelle tout le long du roman. Ce vide est aussi accentué par le décor du tableau, la pièce n’est pas remplie, il y a un bureau et quatre longues tables de travail, aucune décoration murale, et dans le livre il n’y a jamais de vrais passages actifs, tout reste monotone dans un rythme plutôt lent. L’absurdité d’un univers moderne est montrée dans le tableau

La violence de la lumière :On peut parler de violence de la lumière car il y a dans la pièce un lumière aveuglante qui vient de la fenêtre et qui inonde la pièce. Elle éclaire les trois personnages, ceux fasse à la fenêtre la reçoivent en pleine figure et plus particulièrement la femme et celui face à eux la tape sur le dos. La lumière est intense et pourtant le titre du tableau est « Conference at night » ce qui signifie que cette scène se passe soit le soir soit la nuit et pourtant le soleil est bien présent.

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