Le roman peut-être une échappatoire de la réalité

Dans un premier temps, nous avons démontré que le roman pouvait être le reflet de la réalité tel la citation de Stendal « le roman est un miroir que l’on promène le long d’une route ». Cependant le roman peut aussi être pure invention est alors la citation n’a plus son sens.

En effet le roman est parfois un échappatoire de notre réalité.

Le roman fantastique permet au lecteur de s’évader vers l’irreel, l’imaginaire et par conséquent considéré comme une fuite de la réalité et pas comme le miroir de notre vie. Comme avec l’exemple du roman de J.K Rowling, Harry Potter qui entraine le lecteur vers un monde peuplé de créatures fantastiques et d’hommes possédant des capacités hors du commun.

Les romances quand à elles, font rêver le lecteur à une histoire d’amour idilique en dehors de toute réalité. Tel le roman de Ann Brashare, L’amour dure plus qu’une vie où le couple d’amoureux défie la mort et se retrouve à chaque fois après leurs vies antérieurs.

Certains romans, nous font désirer l’innaccessible, où nous avons le pouvoir d’avoir ce que l’on désire et ainsi obtenir l’irréalisable comme avec le roman d’Honoré de Balzac, La peau de chagrin, où le personnage principal détient une peau magique qui lui permet d’exaucer tout ses vœux ; où encore avec les contes des Milles et une nuit.

Et parfois on peut se confronter à nos pires cauchemars, à la lecteur d’un Thriller tel le roman hantée de Maureen Johnson où une ville revie les meutres de Jack l’éventreur, où certains personnages ont des dons de clairvoyance.

A travers une page d’un de ces romans, il peut nous faire fantasmer, rêver, désirer, ou encore nous effrayer mais ne reflète en rien la réalité.

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