Le lac d’Alphonse de Lamartine dans Mediations Poétiques
Commentaire de texte : Le lac d’Alphonse de Lamartine dans Mediations Poétiques. Recherche parmi 297 000+ dissertationsPar syl238 • 19 Décembre 2012 • Commentaire de texte • 536 Mots (3 Pages) • 2 017 Vues
• Sujet amené :
Époque : Début du 19e siècle
Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine
Titre de l’œuvre/de l’extrait : Méditations poétiques (recueil de 24 poèmes), Titre de l’extrait : « Le Lac » (10e du recueil)
Date et lieu de publication : 1820
Courant, genre et forme littéraires : Romantisme, genre poétique (plainte amoureuse)
Lien avec le contexte :
- Inspiré par l’amour pour Julie Charle (Elvire).
- Composé suite à un rendez-vous manqué au Lac de Bourget.
• Sujet posé : Démontrez que Lamartine dans le poème «Le lac», sollicite la nature pour contrer les effets du temps et pérenniser les souvenirs d’un amour passé.
• Sujet divisé :
― L’obsession de l’auteur fasse au temps
― La faiblesse de l’homme envers le temps
― L’attente envers la nature
DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF
I. L’obsession du poète fasse au temps
A. Il s’adresse personnellement au temps
1. Pron. Pers 1re pers sing. et plur.
a) «Je viens» (v.9) = le poète
b) «Je demande» (v.31) = voix du couple
à Généralisation de l’emploi de la 1re personne, le poète s’adresse directement au temps.
2. Utilisation de l’impératif présent
a) «Prenez» (v.29) = demande du poète
b) «Oubliez» (v. 30) = supplication du poète
à Traduit les supplications du poète envers le temps.
C.A. : Le poète est impuissant fasse au temps qui passe.
B. Il implore le temps
1. Interrogation négation.
a) «ne pourrons-nous jamais» (v.5) = constatation face au temps
b) «n’en pourrons-nous moins» (v.43)= demande du poète
à Le poète se pose des questions fasse au temps
2. Pron. Pers 1re pers sing. et plur.
a) «je demande» (v.31) = le poète demande du temps
b) «je dis» (v. 33) = voix du poète
à Demande direct du poète.
C.B. Le poète demande au temps de se figer.
C.I. : Le passage du temps est une obsession pour le poète.
II. La faiblesse de l’homme envers le temps
A. Le poète se fait le porte parole de l’homme.
1. Utilisation de l’impératif présent
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