Le lac, Lamartine

 Jim Charles

Cours français : 601-101-MQ

Professeur : Julie St-Pierre

Date de remise : 2020-10-01

Devoir : 2

Plan détaillé

INTRODUCTION

Époque : 19e siècle

Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine

Titre de l’œuvre/de l’extrait : Le lac dans le recueil méditations poétiques

Date et lieu de publication : 1817 (création de Le lac) 1820(recueil)

Courant, genre et forme littéraires : romantisme, poème

Lien avec le contexte : Rencontre d’une femme en 1816 ; Julie Charles. Elle meurt en 1817 et là « Le lac » est né.

Sujet posé : Il nous faudra démontrer que le poème « Le lac », que de Lamartine dénonce le temps et sa puissance destructrice.

Sujet divisé :

1. Il voudrait que le temps s’arrête.
2. Il dénonce la puissance du temps
3. Il s’adresse à la nature

DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF

1.  Il voudrait que le temps s’arrête.

1. (1er argument secondaire) Il voudrait pouvoir continuer de vivre ses jours heureux.

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire)

1. Métaphore

1. « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges jeter l’ancre un seul jour.» à Océan des âges

 le temps est immense, d’avancer sur cet océan qu’est le temps.

1. (2e preuve : procédé + citation + commentaire)

1. Le point d’exclamation

1. « Ô temps ! Suspends ton vol, et vous, heures propices ! Suspendez votre cours : laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours. »

1. Il s’adresse directement au temps pour qu’il arrête son cours. Le point d’exclamation nous renseigne sur l’intensité de son désir à pouvoir arrêter le temps.

1. C.A. : (conclusion du paragraphe A) Il voudrait pouvoir arrêter le temps, profité encore des quelques beaux moments. Il aimerait que le temps aussi puissant que les océans, suspende son cours.

1. C.I. : (conclusion de la partie I) Le temps ne peut s’arrêter même si on le voudrait

1.  Il dénonce la puissance du temps.

1. (1er argument secondaire) Le temps est destructeur.

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire)

1. Le point d’exclamation

1. « Aimons donc, aimons donc, de l’heure fugitive, hâtons-nous, jouissons ! »

1. Donc, il donne de bons moments au poète et les reprend quand ça lui chante. Le point d’exclamation : le désespoir de l’auteur.

1. (2e preuve : procédé + citation + commentaire)

1. Verbes  

1. « poussés », « emportés »

1. Le temps est tellement puissant qu’il décide du sort de tout.

1. C.A. : (conclusion du paragraphe A) Le poète ne peut rien face au pouvoir contre le temps.

1. (2e argument secondaire) Le temps est puissant

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire)

1. Périphrase

1. « Laissez-nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours ! »

1. Il implore le temps de lui rendre ce qui le rendait heureux.

1. C.B. : (conclusion du paragraphe B) Le temps est grand, puissant et peut faire ce qu’il veut.
2. C.II. : (conclusion de la partie II) on ne peut aller contre la volonté du temps.

1. Il s’adresse à la nature.

1. (1er argument secondaire) Il envie la nature.

1. (1re preuve : procédé + citation + commentaire)

1. « Vous, que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir »

1. Démontre qu’il envie l’immortalité de la nature car elle n’ai pas affecté au  contrainte que l’homme subit.

1. (2e preuve : procédé + citation + commentaire)

1. Le champ lexical de la nature

1. « Flancs déchirés » (L10), « sombres abîmes » (L45), « forêt obscure » (L49), « noirs sapins » (L55) et « rocs sauvages » (L55

1. Démontre son humeur face à la nature

1. C.A. : (conclusion du paragraphe A) De Lamartine envie la nature de façon positif et négatif.

1. C.III. : (conclusion de la partie III) L’auteur s’adresse à la nature pour se rappeler son passé perdu. Il envie la nature de son lien avec le temps.

1. CONCLUSION

1. Confirmation : L’auteur a bien démontré la puissance dévastatrice du temps.
2. Synthèse : Le temps est destructeur. Il est puissant. Le temps et la nature ne fonctionne pas de la même façon qu’avec l’homme. La nature rappelle au poète son passé.
3. Ouverture : romantise ou parnasse

         Alphonse Marie Louis de Prat de Lamartine dit Alphonse de Lamartine, né à Mâcon

en 1790 et mort à Paris en 1869. Il est un poète, romancier, dramaturge et prosateur en

même temps d’être impliquer dans la politique française. Il est une grande figure du

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