Le genre poétique

Incomprise et souvent mal aimé des jeunes qui la trouve trop ancienne et pas à leur image, la poésie est pourtant un mode d’expression bien moderne.

Elle apparait comme compliqué, innaccessible de pars une complexité recherché par certains auteurs. Mais la definition faite par les jeunes et même par la société d’aujourd’hui est bien trop réduite. Quand on pense à la poésie, on pense seulement à la poésie lyrique, de longs textes comosé de rimes, de figures de rhétoriques, de vers calculé, parlant de sentiments profond telles que l’amour, le chagrin, la tristesse, la pation…Alors que la poésie est à la fois beaucoup simple et infinement plus complexe. On peut comprendre qu’une recherche aussi longue, aussi pousée, aussi versifié que celle de Victor Hugo dans ses textes puisse apeurer un écrivain novice, mais Hugo et ses poèmes n’illustrent pas dans son ensemble la diversité, l’immensité qu’est le genre de la poésie . Cela depend des époques, des écrivains, des effets rechercher, de la raison qui pousse l’auteur à faire danser sa plume le long d’une feuille blanche qui se remplit petit à petit. Il existe tellement de genres de poésie différents que l’on ne peut se restreindre à une vision aussi simpliste que celle qu’on les jeunes de nos jours.

Pour introduire la diversité et les différents aspects que peut prendre la poèsie, il serrait intéressant dans lister quelques formes. On peut commencer par des formes assez classiques ou clichés, celle qui représente le plus communement l’image qu’on se fait de la poésie avec les poèmes a forme fixe. Conduit par une règle précise, composé de quatorze vers, repartie en quatres strophes de deux quatrains et deux tercets, le Sonnet fait partie de cette poésie « clichée ». Il apeure avec sa strure assez complexe mais des poètes telles que Ronsard le manie pourtant très dans des poèmes comme « Quand vous serez bien vielle ». Ensuite au XVIe siècle on peut mentionner l’Ode. C’est un poème lyrique de 3 strophes de meme longueure, la strophe, l’antistrophe et l’épode. Le ton doit être enthousiaste, saisissante, rythmée. Et encore une fois Ronsard s’en sort très bien avec « Mignonne, allons voir si la Rose ». Et la chanson compte aussi parmis les poemes à formes fixes. Ecrit par un poème anonyme, c’est un recit en vers de plusieurs strophes de tailles différentes avec un assonance. Ensuite on change d’univers ou plutôt de planète si l’on compare la poèsie elle-même à un univers. On passe donc sur la planète des poèmes en vers libre. Elle incarne l’image de la poésie dit moderne. Ici il n’est pas question de règles. Le seul fils conducteur n’est autre que l’imagination du poète. Jean de la Fontaine initie le principe au XVIIe siècle, Paul Eluard l’utilise aussi trois cents ans après dans « Comme une femme solitaire Qui dessine pour parler Dans le désert ». Sa poésie libre, le nombre de syllabes dans chaque vers est varie et irregulier. On peut maintenant s’intéresser dans les poèmes à formes typographiques. Ces poèmes ravirons les artistes completes qui se pretent au dessins ou à la peinture. Ici il s’agit de jouer avec les mots pour crée un effet visuelle. L’accrositche forme des mots dans plusieurs sens, l’initiale de chaque strophe permet de créer des mots que ce soit le thème ou le sujet du poème, son titre ou encore le nom de l’auteur.

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