Le concept de l'amour dans Maison de Huang
Analyse sectorielle : Le concept de l'amour dans Maison de Huang. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar svetik473 • 3 Décembre 2013 • Analyse sectorielle • 619 Mots (3 Pages) • 693 Vues
Exemple de plan détaillé de rédaction d’une dissertation explicative et d’une dissertation critique
INTRODUCTION
Sujet amené (évoquez le contexte historique ou le contexte littéraire)
Sujet posé (formulez l’énoncé dans vos propres mots)
Dans le cas d’une dissertation critique : prise de position (indiquez clairement votre prise de
position)
Sujet divisé (précisez la démarche que vous allez suivre)
DÉVELOPPEMENT
Première idée principale
Première idée secondaire
Deuxième idée secondaire
Deuxième idée principale
Première idée secondaire
Deuxième idée secondaire
Troisième idée principale
Première idée secondaire
Deuxième idée secondaire
CONCLUSION
Synthèse (rappel du sujet)
Élargissement (réponse au problème initial et réflexion de portée générale sur les auteurs, la
période, le problème, etc.)
[Développement]
[1. La conception de l’amour dans
Dom Juan.
1.1. La conception de Dom Juan]
La philosophie de
Dom Juan par rapport à l’amour est on ne peut plus nette: il n’apprécie que l’étape de la
séduction, il ne se plaît qu’au défi de gagner l’attention d’une jolie femme. La fidélité le répugne
et, pour se justifier, il prétend que n’aimer qu’une belle, c’est « faire injustice aux autres ». Il est
difficile de prétendre que les conquêtes de Dom Juan sont de l’amour, au sens pur du terme. Son
attitude relève beaucoup plus de l’égocentrisme, car Dom Juan ne se préoccupe jamais de l’autre.
Il ne vit que pour lui, pour son plaisir, sa satisfaction personnelle.
[1.2. La conception de Sganarelle]
Son serviteur, Sganarelle, n’est pas du tout de son avis. Son
discours le dépeint comme scandalisé par les actes de son maître et respectueux du caractère sacré
des relations amoureuses et du mariage. Cependant, ses sentiments semblent reposer beaucoup
plus sur la peur de Dieu que sur le respect des femmes, car il dit: « ... je m’en accommoderais assez,
moi, s’il n’y avait point de mal ; mais, Monsieur, se jouer ainsi du mystère sacré. » Il apparaît que, si
Dieu venait et lui disait
...