Le Réponses au Guide d’exploration du texte dramatique

Réponses au Guide d’exploration du texte dramatique

Contenu

Intrigue

Les personnages : (rien sur le plan physique-peut toucher n’importe qui)

1. Acte 1 :

Zénobie, la fille qui a seize ou dix-sept ans.

Anna, la mère, trente-neuf, quarante ans. Maternel, relation tendre avec sa fille.

Le père lui-même est un quinquagénaire barbu. Autorité, bonne dentition, grand. Psychologie : prisonnier de ses allusions jusqu’à la fin.

La bonne Cruche. L’incarnation d’une figure de style : l’énumération. Allumée, rapport avec la langue, terre-à-terre (réalité), plus affirmative, soutient Zénobie.

Dans un coin, le Schmürz, il est tout enveloppé de bandages et vêtu de loques. Il y a un bras en écharpe et tient une canne de l’autre. Il boite, saigne et il est laid à voir. Il se tasse dans un coin.

Le voisin

Acte 2 : Anna : Relation détériore avec Zénobie, se range du côté de son mari. Jeunesse sacrifiée. P.48 veuille s’en débarrasser

Zénobie : perd espoir en ses parents

Cruche : réflexion (alluse-invention rit du père) p. 46 à quel époque il se croit ton père. Confronte le père, se libère, élan nouveau-s’assume, elle est la seule à ne pas disparaitre.

Le Schmürz, encore en plus piteux état qu’à l’acte qui précède, se soigne avec des vieux chiffons, arrangera notamment la plaie saignante d’une de ses jambes, dont il chassera les mouches de temps en temps avec sa loque.

Acte 3 : Le père : Diverses réflexions parsèment son monologue, il nie son passé et dit s’être toujours trouvé seul. Perd la raison, perd son identité (mémoire), à oublier de faire quelque chose de bien. Échange entre Léon et Schmürz…pardonne-moi, je ne savais pas…D’avoir faite mal à quelqu’un comme lui, un être humain.

2. Le père se souscrit à cette époque et celle-ci s’effondre. Cruauté mentale envers leur fille. Vivent dans le passé et même le transforme pour le rendre plus beau. Zénobie se préoccupe de cette réalité, mais ces parents vont la rendre malade. Pose des questions. Ses parents veulent s’en débarrasser (mariage arrangé avec Xavier) pour ne plus être confronté à la réalité que celle-ci essaie de leur faire souvenir. Complicité entre Zénobie et Cruche. Cruche n’a pas peur, fait face au père et même s’en va. La mère au début est maternel avec sa fille, leur relation va se détérioré. Le monde est en train de se détériorer. Anna pousse sa fille à aller chercher le lit. Elle a un léger regret. Se soumet à son mari. Soumise à son mari, à ses valeurs.

Les évènements :Cruauté : combien de fois le Schmürz se fait battre???

3. Acte 1 : Le premier acte se passe dans un appartement bourgeois où débarque une famille par l’escalier d’en bas. Il y a le père et la mère, leur fille, Zénobie, et Cruche, la bonne. On comprend que si la famille s’installe dans cet endroit, c’est parce qu’elle a fui le précédent logement, celui du dessous, bien plus vaste et plus confortable que celui-ci. Un cinquième personnage se tient à l’écart, déjà présent dans la pièce. C’est le Schmürz. Il est le bouc émissaire des adultes. Chaque fois que l’un d’eux est contrarié, gêné ou ne sait pas quoi dire, il va aller le bastonner. Seule Zénobie l’épargne. Seule Zénobie remarque sa présence et parle de lui. Il est question de marier la jeune fille au voisin, Xavier. Xavier disparait.

Acte 2 : Dans le deuxième acte, la famille a encore déménagé à un étage supérieur, pour un appartement plus petit. Pourquoi ce changement ? A cause du « Bruit », une menace indéterminée venant de l’extérieur. Le Schmürz est toujours là aussi, il prend des coups de plus en plus violents, sans broncher. On apprend que Xavier est mort, mais ça n’a pas l’air d’affecter la famille. « Notre sort est enviable » répète le père. La bonne quitte le navire. A la fin de l’acte, les parents envoient Zénobie toquer chez les voisins. Lorsque le Bruit retentit, le père claque la porte, condamnant ainsi sa fille : « Les enfants finissent toujours par quitter leurs parents. C’est la vie. » Cruche part par elle-même, Anna et Zénobie disparait.

Acte 3 : Le dernier décor est misérable. De la même manière que le père avait lâchement abandonné sa fille, il mure la trappe de l’escalier où se trouve sa femme. Il se retrouve seul. Diverses réflexions parsèment son monologue, il nie son passé et dit s’être toujours trouvé seul. Le suicide du père

4. D’acte en acte, on doit se sauver du bruit et déménager, on perd à chaque fois des objets, même des personnages qui disparaissent pour en laisser qu’un, le père avec le Schmürz. Celui-ci se suicide, car il n’est pas capable de faire face à tout le mal qui a fait. Déménage et le bruit se répètent. Perte humaine, perte des

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