Le Père Goriot, Balzac

Le Père Goriot Balzac

mouvements :

l-1 à l-14 : l’indifférence face a la mort

l-15 à l-28 : le commencement de sa nouvelle vie dans l’aristocratie

I. l’indifférence face a la mort

l-1 à 5 on constate l’indifférence des gens qui entourent Eugène face a la mort du Père Goriot, ils considère son enterrement comme une perte de temps « le services dura vingt minutes » « une seule voiture de deuil » « ne pas nous attarder » de plus a la l-2 le mot « consentirent »  ajoute a l’impression que les gens présent ne sont pas la par choix mais bien par obligation.

l-6 à l-11  « deux voitures armoriées, mais vide » montre que même ses filles, pour lesquelles le Père Goriot avait tout sacrifier, n’ont pas fait le déplacement. Elles ont envoyé leur domestiques à leur place l-9 « les gens de ses filles »

l-13 « lui demande leur pourboire » amplifie l’impression d’Eugène d’être seul a surmonter cet obstacle    

II. le commencement de sa nouvelle dans l’aristocratie

l-15 à l-18 « détermina chez Rastignac un accès d’horrible tristesse » Eugène est le seul a ressentir de la tristesse pour le Père Goriot , ça montre bien qu’il n’est pas comme tout les autres. l-16 à18

« il regarda la tombe et y ensevelit sa dernière larme de jeune homme , cette larme arrachée par les saintes émotion d’un cœur pur » Eugène viens d’enterrer celui qu’il étais avant.

l-23 « ses yeux s’attachèrent presque avidement » « là ou vivait ce beau monde dans lequel il avait voulu pénétrer » Eugène est fasciner par la société parisienne  et ses habitant, et il est bien décider a en faire parti, ses mots l- 26 « a nous deux maintenant » le confirme.

Paris est comparer a « une ruche bourdonnante » l-25

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