La vitesse

La Vitesse

Si la lenteur, aujourd’hui, est écarté de notre horizon, la vitesse est plus que jamais présente dans notre quotidien. L’histoire d’une liberté qui reste a définir. En effet, nous pouvons nous demander si l’homme à choisit de vivre a toute vitesse ?

Que l’homme se dirige instinctivement vers la vitesse est a envisager, c’est pour lui une mesure insaisissable qu’il veut défier. L’homme souhaite également mourir en ayant eu une vie comblé, ce désir se manifeste par une peur de l’inactivité. Ainsi il essaye de combler chaque minute mais comme il se lasse vite il lui faut sans cesse du renouveau.

Cependant, d’un autre coté la vitesse s’impose a l’homme du au progrès numérique et a une rentabilité fortement exigé. La vitesse de réflexion est quant a elle préférable puisque la lenteur est dans notre société souvent blâmée.

Pourquoi l’homme se met toujours au défit ? Deux principales raisons nous viennent alors a l’éprit, pour être le meilleur mais aussi pour être stimulé et ressentir de l’adrénaline. L’adrénaline, voila un nom commun qui fait que l’homme se sent vivre. Pour la ressentir encore et encore il ne cesse de se mettre au défit c’est ainsi qu’il repousse ses limites. Ici, il est question de limites liées à la vitesse qui paraissent pour certains des obstacles infranchissables mais qui pour d’autre sont sources de sensation. Justement, dans la Lenteur un roman de Milan Kundera publié en 1995, est évoqué un homme qui sur sa motocyclette perché par la vitesse n’a plus peur, ne pense plus a rien, il délègue la vitesse a une machine. Lorsqu’il ne cesse d’accélérer il est en état d’extase, cette sensation lui fait perdre la notion de son âge. D’autre part l’homme est fasciné par la vitesse car elle semble indispensable pour exceller, une sorte de super pouvoir qui peut nous rendre célèbre. En effet, dans le domaine de l’art par exemple, la vitesse est source d’un grand succès. Certaines oeuvres de Pablo Picasso sont connu pour avoir étaient dessiné rapidement en une seule ligne sans lever le crayon, ou encore certains morceaux du célèbre pianiste Frederic Chopin qui avait la faculté de composer sur le champs, d’improviser. Cela explique que l’homme se dirige vers la vitesse, le manque d’accélération nous laisse sans vitalité dans l’ombre du plus rapide.

Ne pas vivre a cent à l’heure, laisse entendre des moments d’inactivité ou notre corps s’ennuie, souvent des moments de solitude qui laissent places a des questionnements. Lorsqu’on se retrouve seul et oisif l’homme pense la majorité du temps a des choses négatives, en effet, on voit plus le verre a moitié vide qu’à moitié plein. Pour certains les problèmes personnels font surfaces pour d’autre c’est la peur de perdre du temps et de manquer a bien remplir sa vie. C’est la cas de Madame Bovary, de Gustave Flaubert de 1857, qui s’ennuie de la vie rurale et se plaint qu’il n’y est aucune folie et rien de palpitant dans son quotidien. A par se réfugier dans les romans, attiré par les mots : passion et ivresse, son manque d’activité la démoralise et soulève des réflexions éprouvantes. En effet, elle trouve les conversations avec son mari plates, elle aurait préfère avoir un fils plutôt qu’une fille, elle se dirige donc avec passion vers l’adultère pour combler sa vie. Ceci met en évidence le fait qu’on tend volontairement vers un quotidien ou la succession d’événements permet de vivre pleinement. Le fait de vivre lentement signifie ennuie et l’ennuie est déprimant.

En plus d’être de nature négative, l’homme se

...