La révolution Française : Discours De L'identité

La Révolution Française : un discours de l’identité

L’historien étudie la révolution française non pas à travers ses compétences mais bien au-delà qu’il peut penser. Il doit ainsi prendre position par sa propre opinion donner une interprétation sur l’histoire du passé et du présent. C’est ainsi qu’après plusieurs périodes historiques, on pourra/mettre en évidence la possibilité d’une identification à la politique ou au religieux.

La révolution française est à l’origine de nos récits : c’est en 1789 qu’apparait la crainte des origines mais aussi l’apparition d’un monde nouveau, d’une identité dans l’égalité. C’est de-là qu’on ne parlera plus d’histoire moderne mais de la fin de l’Ancien Régime et de la période contemporaine de 1815. C’est à partir de là qu’il est formé un découpage chronologique sur la question de savoir quand peut-on dire que la Révolution s’achève. L’historien affirme qu’elle s’étend sur plusieurs évènements, elle n’est donc pas déterminée sur une période : il met l’hypothèse de 1789, de 1794 ou encore de 1799. Ce dernier va bien au-delà de ces suppositions. Entre le XIXe et XXe siècle, l’histoire montre une lutte politique ente la Révolution et la Restauration et cela jusqu’au début de la troisième République où la Révolution l’emporte. A cette même période, les principes de 89, les condamnations des crimes de 93 sont au centre de la politique française. De là, apparait une dimension internationale des conflits pour les fasciste et le régime de Vichy appartient au traditionnaliste qui eux sont dans la hantise de 1789.

La Révolution français est à l’origine du socialisme ; en 1917, le socialisme ouvre une nouvelle identité à la révolution. On dit de la Révolution, un avenir pour les politiques du futur.

...