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La littérature de Shenzhen

Rapport de stage : La littérature de Shenzhen. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Septembre 2017  •  Rapport de stage  •  2 234 Mots (9 Pages)  •  524 Vues

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Université des Études Étrangères du Guangdong

Faculté des Langues et Cultures Européennes

Département de Français

Grade : Master Ⅰ

Auteur : Stella刘清如20160510017

Titre:

Deng Yiguang et la littérature urbaine de Shenzhen.

-Où est l’avenir des immigrants de Shenzhen ?

Le 9 janvier 2017

Résumé : L’écrivain de migrant Deng Yiguang a écrit beaucoup d’œuvres qui sont correspondants à la société de Shenzhen. Dans les œuvres de l’auteur, les immigrés de Shenzhen ont connu une vie différente de celle du peuple de Shenzhen. Parmi les immigrés, il y a des hommes qui sont dans les bas-fonds de la société et des hommes qui travaillent dans le bureau. Ils subissent une maladie mentale ou physique. Où est l’avenir des immigrés de Shenzhen ? Ce texte nous a offert une meilleure peinture sur la vie de ces immigrés et tenté de trouver la solution pour ce problème.

Mots clés : Deng Yiguang, l’avenir, immigrés, Shenzhen


TABLE DES MATIÈRES

Introduction        4

La vie et les oeuvres de l’écrivain Deng Yiguang.        4

La vie des immigrés dans les bas-fonds de la société de Shenzhen.        5

La vie des immigrés qui sont élites intellectuelles de Shenzhen.        7

Conclusion        8

Bibliographie        9


Introduction

Depuis ces quelques mois, j’ai lu des œuvres de Deng Yiguang. Ses œuvres nous ont montré une nouvelle ville de Shenzhen et nous ont rappelé la situation des immigrés de Shenzhen. Shenzhen est une très grande ville qui est célèbre en Chine à la fois dans le monde entier. Cette ville est en voie de développement et a connu un grand succès depuis la réforme de l’Ouverture. Sous le slogan « Si vous venez, vous êtes peuple de Shenzhen »[1], les jeunes sont nombreux à courir dans la ville à la recherche un bon emploi ou une meilleure vie. Mais contrairement à ce qu’ils croissent, la vie est beaucoup plus difficile dans cette grande ville. Ils travaillent nuit et jour. Ils gagnent de l’argent qui n’est pas assez pour la vie chère de Shenzhen. Ils ont découvert qu’ils ne sont pas peuple de Shenzhen mais immigrés de Shenzhen. Beaucoup d’entre eux sont malades mentalement ou physiquement. Où est l’avenir des immigrés ? Est-ce que c’est vrai que si vous venez, vous êtes peuple de Shenzhen ?

Ce texte se divisera en quatre parties. Dans la première partie, nous présenterons la vie et les œuvres de l’écrivain Deng Yiguang. La deuxième partie sera consacré à une petite analyse sur la vie des immigrés qui sont dans les bas-fonds de la société de Shenzhen. Dans la troisième partie, nous aborderons à faire une analyse sur la vie des immigrés qui sont élites intellectuelles de Shenzhen. Dans la dernière partie, nous ferons une petite conclusion sur cet article.

La vie et les œuvres de l’écrivain Deng Yiguang.

Deng Yiguang est né à Chongqing mais son pays natal est Wuhan. En 2009, il a quitté Wuhan et s’est installé à Shenzhen. Cela n’a pas d’importance pour les autres de changer la ville d’installation mais c’est important pour les hommes qui le fait parce que la ville va changer notre état d’esprit. Dans le processus de s’adapter à la vie de Shenzhen, Deng Yiguang a une nouvelle idée pour Shenzhen et il s’est retrouvé. En tant qu’un nouveau venu, Deng Yiguang entre dans le cœur de la ville de Shenzhen. Quelques années plus tard, des dizaines de nouvelles sont publiées. Dans ses oeuvres, il raconte les histoires des gens de différentes classes et de différentes couches y compris les ouvriers dans les bas-fonds de la société, les docteurs et les masters qui sont bien diplômés, les travailleurs qui n’ont pas d’argent d’acheter un appartement, les gens qui ne peuvent pas supporter la pression de travail et les travailleurs qui ne peuvent pas rentrer chez eux dans le Nouvel an. Tous les personnages pricipales de ses nouvelles sont les immigrés qui quittent leur pays natal pour gaganer la vie dans la ville de Shenzhen. Ils ont un rève de Shenzhen. Leur vie nous montre une vraie ville de Shenzhen. Ils ont construit Shenzhen mais ils ne sont pas les peuples de Shenzhen.

En rancontant les histoires de ces immigrés de Shenzhen, Deng Yiguang nous a révélé leur situation diffilcile. Bien que les hisitoires soient banales, ils nous ont rappelé le problème de la relation entre les immigrés et la ville de Shenzhen et le problème de la santé de corps et d’esprit des immigrés.

La vie des immigrés dans les bas-fonds de la société de Shenzhen.

Dans les œuvres de Deng Yiguang, il raconte les histoires des immigrés dans les bas-fonds de la société de Shenzhen. Par exemple, dans le conte, Vous pouvez laisser grandir les fleurs de lis[2], il y a une fille qui a un père drogué, une mère fragile et un frère anormal. Cette fille gagne la vie à l’aide de gouvernement et elle doit s’occuper de sa mère et de son frère. Dans le quartier où ils vivent, les ouvriers se moquent toujours de la famille de cette pauvre fille et son frère anormal. Mais c’est une fille qui est puissante dans son cœur. Elle fait ses efforts de protéger sa famille. Dans Ce que je pense dans le bois de rouge[3], l’auteur nous a décrit une histoire de l’homme qui n’a pas d’argent d’acheter une maison pour vivre. Cet homme a bien réfléchi sa vie à Shenzhen. Son rêve de Shenzhen est tellement loin de sa vie actuelle. Ce n’est pas possible pour un immigré d’acheter un bâtiment à Shenzhen par manque d’argent et de statut. Est-ce qu’il est peuple de Shenzhen ? Non, il est immigré comme les autres travailleurs de Shenzhen. Dans un autre conte Le centre de Wanxiang ne sait pas le destin de l’argent[4], le centre de Wanxiang est l’un des plus grands centres commerciaux de Shenzhen et on peut y trouver beaucoup de marque de haute qualité. Les peuples de Shenzhen qui sont riches aiment faire leurs achats dans ce centre. Ils achètent les articles de luxe sans aucune hésitation. Au contraire, Delin, le héros de ce conte, il n’a pas d’argent de rentrer chez lui dans le Nouvel an. Il est un petit nettoyeur de ce centre qui gagne moins de 2000 yuans par mois. Avec cette somme de l’argent, il doit s’occuper de la vie de toute la famille qui vive dans un petit village. Il travaille nuit et jour mais il n’a pas assez d’argent pour rentrer chez lui. Il travaille dans le grand centre mais ce centre ne lui appartient pas. Est-ce qu’il est peuple de Shenzhen ? Non, il ne fait pas partie de cette ville qui est en grand développement.

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