La bête Humaine, Zola

La bête humaine d’Emile Zola est une sorte de roman policier, l’amour et la mort sont très liés dans ce livre noir. Zola suit et critique les démarches de pensées de Denizet, le juge d’instruction, et fait une violente satire d’une justice infondée au pouvoir. Il veut faire un roman du crime et de l’enquête différents de celui des contemporains. Sa critique de la justice demeure au second plan mais tout en restant omniprésent. Dès le 4éme chapitre apparait un défaut de la justice, l’erreur judiciaire. Dans le chapitre 12, la seconde enquête est a nouveau sur une fausse piste, Denizet essaye de protéger sa carrière et de ne pas salir la réputation de Grandmorin. Camy-Lamotte, le secrétaire général au ministère de la justice agit de même en griffonnant la seule preuve du meurtre de GrandMorin. Ils ne veulent pas perdre leur postes pour une sorte de raison qui n’intéresse personne. Le juge Denizet est corrompu puisqu’il accepte de ne pas chercher la vérité pour un poste à Paris. L’étude de la magistrature, hérédité du crime, l’administration du chemin de fer. Zola veut montrer que la société se dégrade. Description des milieux judiciaire. Il y a une enquête policière : Zola avait le choix entre le mystère et la tragédie, il décide de raconter le meurtre de Grandmorin bien plus tard car dans le tragique on doit tout savoir alors que le mystère on doit garder le suspens.

Le titre est contradictoire, opposition entre le progrés = les trains et les pulsions instinctives et bestiales (éveil du désir). Zola développe la métaphore animal. Au dela du mal héréditaire de Jacques. Jacques est un antihéros.

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