La Ronde Des Jours

jnjjjhhjdfhbjj compagnon de lutte du premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, Bernard Dadié est considéré comme le chef de file des écrivains ivoiriens.

Auteur prolifique, Dadié a l’avantage d’avoir livré à la postérité des œuvres du champ de la nouvelle, du roman, de la poésie, du théâtre et de l’essai. Parallèlement à une production littéraire féconde, il est doublement prix littéraire d’Afrique noir (Patron de New York, 1965 et La ville où nul ne meurt, 1968). Sa poésie, militante, se caractérise par une démarche elliptique et une appropriation décomplexée de son statut d’homme noir. Il obtient plusieurs distinctions: prix littéraire d'Afrique moir avec "le patron de New york" et "la ville qui ne meurt pas", docteur honoriscausa d'universités européennes et américaines. Son engagement pour la culture et ses prises de positions, l'entraine dans l'arène politique en tant que Ministre de la culture en 1977 et Président fondateur du CNRD (Congrès national de la résistance pour la démocratie)

L(es) oeuvres de l'auteur

Chronique

* Les Villes (1933),

* Un Nègre à Paris (1959),

* Patron de New York Bernard Dadié est reconnu pour ses écrits et ses efforts de défendre la culture africaine. Ecrivain et homme politique ivoirien. il est né à Assinie, au sud de la Côte d’Ivoire en 1916. Fils de Gabriel Dadié, (1956),

* La Ville où nul ne meurt (1968).

Théâtre

* Monsieur Thôgô-Gnini (1970),

* Mhoi cheul (1979),

* Béatrice du Congo (1995).

Nouvelles

* Légendes africaines (1954),

* Le Pagne noir (1955),

* Commandant Taureault et ses nègres (1980),

* Les Jambes du fils de Dieu (1980).

Poésie

* Afrique debout (1950),

* La Ronde des jours (1956),

* Hommes de tous les continents(1967).

Oeuvres autobiographiques

* Climbié (1953),

* Carnet de prison 1949-1950 (1984).

Source :

Bernard Dadié est reconnu pour ses écrits et ses efforts de défendre la culture africaine. Ecrivain et homme politique ivoirien. il est né à Assinie, au sud de la Côte d’Ivoire en 1916. Fils de Gabriel Dadié, compagnon de lutte du premier président ivoirien Félix Houphouët-Boigny, Bernard Dadié est considéré comme le chef de file des écrivains ivoiriens.

Auteur prolifique, Dadié a l’avantage d’avoir livré à la postérité des œuvres du champ de la nouvelle, du roman, de la poésie, du théâtre et de l’essai. Parallèlement à une production littéraire féconde, il est doublement prix littéraire d’Afrique noir (Patron de New York, 1965 et La ville où nul ne meurt, 1968). Sa poésie, militante, se

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