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La Fontaine De Jouvence

Dissertation : La Fontaine De Jouvence. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  16 Octobre 2013  •  2 906 Mots (12 Pages)  •  890 Vues

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La Fontaine de Jouvence, cette fontaine qui est ou régénératrice ou rajeunissante, cette fontaine qui offre la vie éternelle, cette fontaine légendaire recherchée par un grand nombre de personnes et jamais retrouvée.

Recherchée par Christophe Colomb et également Alexandre le Grand qui, ce dernier, serait mort d'impatience à 33 ans en la cherchant. J’espère que ce n'est pas le sort qui m'est réservé...

31 Janvier 1888

Elle serait située sur l'Atlantide d'après mes recherches que j'effectue depuis... si longtemps : cette cité cacherait cette fontaine. Je me trouve vieux, beaucoup trop vieux. Mais j'utiliserai mes dernières forces pour la retrouver.

J'ai porté mais recherches dans l'océan Indien. D'après Platon, l'Atlantide est plus grande que la Russie et la Libye réunies, mais nous savons maintenant, avec les cartes dont nous disposons, que c'est impossible (à moins que ce ne soit un continent existant).

28 Février 1888

Aujourd'hui j'ai découvert que dans l'océan Indien, il y a une partie non habitée. J'ai réduit le périmètre par une sorte de pentagone pour le délimiter de 4275 lieues environ (ancienne lieue de Paris). Le point de départ se situe à 80° de longitude ; de latitude -10° (≈ ville Diego). Quant à l’altitude, elle est de 2 lieues en dessous du niveau de la mer.

15 Avril 1888 :

Le mois dernier j'ai été élu au conseil municipal d'Amiens, mais je dois malheureusement m'absenter pour sans aucun doute quelques mois vers l'Atlantide. Je rejoins mon ami Christophe au port de Marseille, ce qui me fait un trajet d'environ 20h, si l'on ne s'arrête pas.

Son oncle habite en Inde, et il détient la fameuse invention, qu'il m'est pressé de voir.

16 Avril 1888 :

Dès que je suis arrivé à Marseille, Christophe fut enchanté de me voir.

Nous avons passé une nuit chez lui, histoire de me reposer, car le trajet en Inde risque d'être fatiguant. D'après mes calculs, le trajet devrait être de 3500 lieues jusqu'à Trivandrum soit 23 jours de voyage sans compter les arrêts de ravitaillements du paquebot.

25 Avril 1888 :

Nous sommes en ce moment à Suez en Égypte, cela fait maintenant plus d'une semaine que nous sommes partis. Il nous reste encore la mer rouge qui doit faire environ 1000 lieues pour aller faire escale à Djibouti. J'aime bien l’ambiance de ce bateau, surtout ses festivités et ses bons repas.

C'était magique de passer près de Chypre, où l'on a fait une rapide escale.

1 Mai 1888 :

Nous avons dépassé Djibouti de 300 lieues et sommes entrés dans l'océan Indien. A partir de ce point il doit nous rester encore 5, 7 jours tout au plus. Bien que le bateau avance de 10 nœuds, je pense déjà à mon arrivée en Inde . L'océan est vide il n'y a rien, rien du tout, pas d'île, ni terre ; ce qui confirme ce que je pensais : l'Atlantide est certainement quelque part en dessous.

10 Mai 1888 :

L'ouragan fait rage dehors, une véritable tempête. Le capitaine nous a prévenu d'une possibilité de retard, je suis un peu déçu mais mon excitation pour cette expédition est sans faille.

12 Mai 1888 :

Nous débarquons à Trivandrum. La fin du trajet fut difficile mais maintenant je me réjouis enfin d'être là. C'est comme une deuxième jeunesse, je suis rempli d'excitation, je vais enfin voir le Delphis, qui veut dire ''dauphin'' en Grec. Le Delphis, d'après Christophe, est l'appareil que son oncle Némo a créé : une sorte de navire submersible pouvant descendre à 2 lieues sous la mer. Il est équipé de sas permettant d'y d'entrer et d'y sortir. Une fois submergé, le premier compartiment de l'appareil se rempli d'eau, et le deuxième reste étanche. Pour plonger, le Delphis remplit entièrement d'eau des ballasts pour que son poids soit à peu près égal à la poussée d'Archimède.

13 Mai 1888 :

J'ai enfin vu le Delphis ; magnifique ! Il doit bien faire 5 toises de long sur 3 de large avec 1 toise 5 de hauteur minimum. Il est gigantesque. Je suis allé à l'intérieur par le sas principal : c'est une pièce vide, de base carrée, et de hauteur 1 toise environ. Ce compartiment est fait pour être rempli d'eau, pour permettre la sortie du plongeur sous l'eau. Nous traversâmes cette partie et entrâmes dans la salle des machines. Le moteur est grand et sophistiqué, le tout ne marche qu'à l’électricité. En ce moment Némo met au point les batteries pour le voyage. Il faut la moitié de la puissance d'un éclair pour le faire démarrer, autrement dit 50 millions de Volt.

Le départ est prévu dans une semaine.

15 Mai 1888 :

Nous sommes en train de rassembler les membres de l'équipage, pas plus de 5 en comptant Némo, Christophe et moi. Nous avons choisi un marin grand d'1 toise, noir et plutôt musclé. On lui à expliqué la situation, qu'il accepta de suite. Il se nomme Kourou a une vingtaine d'années ; il cherchait justement à être engagé..

Nous ayant entendu parlé, une femme, déboula et se mit entre le noir et moi. Sophie, 34 ans, indienne et prête à tout pour être engagée. L'équipage est au complet. Nous avons 1mois de vivres et les batteries sont fixées sur le Delphis.

20 Mai 1888 :

Aujourd'hui c'est le jour du départ, nous avons mis les bagages dans le Delphis mais on part au large en bateau de pêche. Les conditions météo sont favorables, nous avons pris un copieux petit déjeuner, puis avons tout vérifié et revérifié : nous sommes prêts.

21 mai 1888 :

Nous ne sommes partis que depuis un jour et l’impatience d’arriver se sent déjà à

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