LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

L'aveu dans une histoire

Cours : L'aveu dans une histoire. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Février 2013  •  Cours  •  385 Mots (2 Pages)  •  858 Vues

Page 1 sur 2

1) elles font les mêmes gestes portes les mêmes choses.

2) l’élément perturbateur de cette histoire est la fille qui se met à pleurer brusquement d’un seul coup

3) la jeune fille ne peut pas porter le seau car : le seau lui tire trop et elle est en train de grossir.

4) le narrateur regarde l’aveu d’un point de vu interne. Il utilise la « je » et se met dans la peau des personnages.

5) le comportement de la mère évolue dans le mauvais sens. Elle s’énerve et ne veut plus rien entendre de sa fille.

II) le récit dans le récit ou récit enchâssé

1) chronologiquement ce qui est raconté des lignes 105 à197est le début de l’histoire. L’auteur emploi « Il »

2) le narrateur utilise la langue des paysan car ce sont des fermière qui n’on t pas beaucoup de connaissances dans la langue française.

3) Céleste à cédé au avance de Polyte car elle devient en ceinte.

III) La chute de la nouvelle

1) Etant donné du tire de la nouvelle on s’attend à une histoire d’amour

En réalité c’est une histoire de fermière qui n’a pas d’argent

Réécriture

Elles avaient porté chacune deux seaux de zinc maintenu loin du corps par un cerceau de barrique ; et le métal, à chaque pas qu’elles faisaient, jetaient une flamme éblouissante et blanche sous le soleil qui le frappe.

Elles ne parlèrent point. Elles sont allées traire les vaches. Elles arrivèrent, posèrent à terre un seau, et s’approchèrent des deux première bêtes, qu’elles faisaient lever d’un coup de sabot dans les côtes. L’animal se dressa, lentement, d’abord sur ses jambes de devant, puis soulevèrent avec plus de peine sa large croupe, qui semblait alourdie par l’énorme mamelle de chair blonde et pendante.

Dictée

Au bout de quelque temps, une fois la première terreur disparue, un calme nouveau s'établit. Dans beaucoup de familles, l'officier prussien mangeait à table. Il était parfois bien élevé, et, par politesse, plaignait la France, disait sa répugnance en prenant part à cette guerre. On lui était reconnaissant de ce sentiment; puis on pouvait, un jour ou l'autre, avoir besoin de sa protection. En le ménageant on obtiendrait peut-être quelques hommes de moins à nourrir. Et pourquoi blesser quelqu'un dont on dépendait tout à fait? Agir ainsi serait moins de la bravoure que de la témérité.

Rédaction

...

Télécharger au format  txt (2.3 Kb)   pdf (50.7 Kb)   docx (8.8 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com