L'Illusion Comique, Pierre Corneille.
Analyse sectorielle : L'Illusion Comique, Pierre Corneille.. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar JeanMerde • 31 Janvier 2017 • Analyse sectorielle • 583 Mots (3 Pages) • 983 Vues
L'illusion comique est une comédie datant du 17 eme siècle, écrite par Pierre Corneille . Aujourd'hui nous allons vous parler du comique de la pièce. En premier lieu nous étudierons le titre de la pièce, puis le sujet et les personnages de La pièce et pour finir L'illusion de la fin. Tout d'abord avant de commencer nous allons vous définir le terme comique :
Le registre comique, ou en raccourci le comique, est un ensemble d'éléments (forme, effets,...) propres à distraire et à amuser un public.
Il existe plusieurs formes de comique:
Le comique de situation
Le comique de gestes
Le comique de language
Le comique de répétition
Le comique de caractère presque toutes présentes dans l'illusion comique. 1/Le titre Corneille, contrairement à ses pièces précédentes, ne se réfère ici ni à un personnage, ni à un lieu. Sa pièce a pour sujet central l’illusion qui est une caractéristique du théâtre, et en même temps, elle appartient au genre comique.On identifie un triple sens au mot « comique » : la pièce suscite le rire et a un dénouement
heureux. Mais rappelons que le mot « comique » n’avait pas alors le sens plus restreint
qu’on lui donne aujourd’hui et qu’on pourrait rapprocher de « drôle, amusant ». A cette
époque, « comique » désigne initialement ce qui concerne la comédie dans un sens très général. Au XIVe Siècle, le mot « comédie » désigne d’ailleurs n’importe quelle pièce de théâtre, quel que soit le genre auquel elle appartient. « L’illusion comique » pourrait se traduire aujourd’hui par « L’illusion théâtrale. ». 2/ le sujet et le spersonnages de La pièce
- Alcandre, le dramaturge : crée une intrigue représentée dans une salle de spectacle il est le maître du tps et de l’espace
- Pridamant, le spectateur : la pièce jouée pour lui et Réactions de spectateur (compassion, inquiétude, soulagement cf. Fin de chaque acte)
- Clindor, l’acteur épanoui : ses habits de scène I et V ; jouer des rôles : héros picaresque, valet de Matamore, amant > un acteur ; pseudonyme « sieur de la montagne »
- Matamore, l’acteur manqué : héritier du type littéraire du fanfaron = joue les héros, n’est qu’un rôle de théâtre ; besoin d’un public pour exister ; comédien manqué car confond vie et scène, réel et imaginaire
Tous cet ensemble rend la pièce comique. 3/l'illusion de la fin
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