Fiche sur Zadig

ZADIG

intro :

Conte philosophique 1745 → Associe l’idée de la fiction à celle de la réflexion

Apologue → auteur veut délivrer une leçon à son lecteur

L’action se passe en Orient et Babylone étant à décrypter comme l’image de Paris

contourne ainsi la censure tout en tradition orientaliste Milles Et Une Nuit

Z ( véridique en arabe) est présenté en jeune homme parfait au début de ses aventures

I.a) :

Commence portrait physique très flatteur, vertus physiques → Citer.

Il faut ajouter à ça richesse et jeunesse

Mais à la fin, perd son œil remet en question sa beauté → Occasion pour V. de porter une réflexion sur caractère éphémère beauté.

Toutefois V. s’attarde peu sur la description physique de Z.

I.b) :

Z bcp qualité morale (citer) mais est surtout remarquable domaine culture

pas dogmatique

V. dénonce obscurantisme, science, médecine, astronomie, fait preuve d’humilité

Z. pointe de connaissance S, vision héliocentrique (cite)

cependant reste humble car tolérant et respectueux.

I.c) :

Fait preuve de courage face enlèvement de Sémire, avec 2 esclaves fait fuir les ravisseurs.

Sa blessure profonde mais passe après celle de Sémire, supporte ses plaies avec courage.

Homme parfait, complet qui associe qualités phys. et moral.→ ex d’être idéal pour philosophes des Lumières.

Après avoir étudier nb qualités de Z. voyons comment V. condamne son époque à travers un récit satirique

II. a)

Apologue → condamne ses contemporains.

Babylone/ Paris → éviter la censure et goût pour orientalisme.

Il se moque de (l,6-l.7) → fustige propos stériles et légers des Parisiens. Ironie aussi.

(l.20) V. sous-entends : les gens s’attachent non pas aux qualités humaines mais à la fortune.

II.b) :

pamphlet contre les faux savants, médecins de son époque, attitude prétentieuse condamné par (l.17) surtt médecine qui est visée à travers Hermès → accumule faux diagnostiques, on dirait plus prédilections que de la science : c’est absurde ( prévoit même jour Z. perd son œil ). Il publie un livre en expliquant que Z n’aurait pas dû guérir.

V. fustige donc une science enfermé dans ses certitudes et qui ne veut pas reconnaître ses erreurs → dogmatisme

II.c)

Pointe de misogynie part V à travers 2 femmes dans extrait. Sémire : il se moque de sa versatilité féminine.

Elle quitte Z pour son ennemi en prétextant «  une aversion insurmontable pour les borgnes »

Fin laisse sous entendre que Azora « la plus sage de la ville » est plus attachée aux apparences qu’a la vertue.

CCL :

V propose héros parfait plan phys et moral.

Auteur profite pour procéder satire + médeine, les savants et les femmes.

V comme Z est considérer comme ennemie de l’obscurantisme et ex homme parfait du siècle des Lumières.

Ouverture : Candide + naïf et fragile mais se rapproche de Z

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