Etude de corpus de texte sur l'esclavage

Godefroy                                                                                        1er SI

Maxime

Corpus de texte

Dans ce corpus de texte, on parle essentiellement de l’esclavage des nègres au XVIIIème siècles. Les deux premiers textes sont de deux grands philosophes : Montesquieu dans L’esprit des lois, et de Voltaire dans Candide. Enfin le dernier texte est de Chevalier de Jaucourt dans l’encyclopédie, Traité des nègres.

Nous allons, ici, savoir de quelle manière ces trois auteurs argumentent sur cet esclavage.

Dans les documents F et H, les auteurs veulent faire comprendre aux lecteurs par la loi que l’esclavage ne sert à rien, tandis que voltaire utilise un ton ironique. Les deux philosophes des lumières suscitent dans leur texte la pitié.

Dans les documents F et H, les traits de cette loi est clairement explicite dans les titres de Montesquieu et Chevalier de Jaucourt. On peut constater également que ces deux auteurs utilisent le même champ lexical qui est la justice en utilisant les mots droits, humanité, Hommes, injustice et liberté. Par contre dans le texte de Voltaire c’est plus l’ironie qui est utilisé, par exemple lorsqu’il dit : « un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l’année. » ou encore « c’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ».

Pour finir dans les textes des philosophes, on peut comprendre que ces derniers veulent que le lecteur compatisse à la douleur des esclaves. En effet chez Montesquieu il exprime clairement la pitié lorsqu’il écrit : « des petits esprits […] et de la pitié », et chez Voltaire en utilisant une phrase à double sens : « c’est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ».

Ces trois textes veulent faire parvenir au lecteur la pitié, en utilisant des arguments de la législation, la pitié, et l’ironie. On pourrait ajouter à ce corpus « le discours du vieillard » supplément au voyage de Bougainville. Dans ce texte, le vieillard philosophe avec Bougainville en lui montrant que conquérir en posant un drapeau et en imposant la chrétienté que cela ne servait à rien et chaque Homme est égal en droit et en liberté.

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