Double assassinat dans la rue morgue

Double assassinat dans la rue morgue

statut du narrateur : interne

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Le narrateur habite a Paris durant le printemps et une partie de l'été 18.

il fait alors connaissance dans un cabinet de lecture d'un certain c auguste Dupin qui appartient a une famille aisée

les deux hommes s'entendent a merveille et décident de vivre ensemble durant leur séjour a Paris.

Peu de temps après un article dans le journal les interpelles  : DOUBLE ASSASINAT DES PLUS SINGULIER

Vers trois heures les habitants du quartier Saint – Roch on été réveillés par une suite de cris effrayant provenant d'une maison de la rue morgue qui est habité par madame l’Espanaye et sa fille.

Les deux femmes menaient une vie excessivement retiré et sortaient rarement.

Que la police est intervenue et  a forcé la porte, mais les cris avaient cessée.

La chambre était dans le plus étrange désordre, les meubles brisés et éparpillés dans tout les sens.

Il n'y avait qu’un lit, les matelas en avaient été arrachés et jetés au milieu du parquet. Sur une chaise, on trouva un rasoir taché de sang .

Dans l'âtre, trois longues et fortes boucles de cheveux gris, qui semblaient avoir été violemment arrachées avec leurs racines.

Deux sacs contenant environ quatre mille francs en or. Dans un coin, les tiroirs d'une commode étaient ouverts et avaient sans doute été mis au pillage, bien qu'on y ait trouvé plusieurs articles intacts. Un petit coffret de fer fut trouvé sous la literie .Il était ouvert, avec la clef de la serrure. Il ne contenait que

quelques vieilles lettres et d'autres papiers sans importance.

On ne trouva aucune trace de madame L’Espanaye ; mais on remarqua une quantité extraordinaire de suie dans la cheminé. On découvrit alors le corps de la jeune fille .On en tira le corps de la demoiselle, la tête en bas, qui avait été introduit de force et poussé par l'étroite ouverture jusqu'à une distance assez considérable. Le corps était tout chaud. En l'examinant, on découvrit de nombreuses blessures sur la peau , faites  sans doute par la violence avec laquelle le corps avait été fourré et qu’il avait fallu employer pour le dégager. La figure portait quelques fortes égratignures, et la gorge était marquée  par de profondes traces d'ongles, comme si la mort avait eu lieu par strangulation ( étranglement ) .

Après un examen minutieux de chaque partie de la maison, qui n’amena aucune découverte nouvelle, les voisins s'introduisirent dans une petite cour pavée, située sur le derrière du bâtiment. Là ,gisait le cadavre de la vieille dame, avec la gorge si parfaitement coupée, que, quand on essaya de le relever, la tête se détacha du corps . Celui-ci , aussi bien que la tête, était terriblement mutilé. Tout les os de la jambe et du bras plus ou moins fracassés, le tibia gauche brisé ainsi que les cotes. Tout apparence humaine avait disparue

La gorge avait été tranché probablement par le rasoir retrouvé couvert de sang.

Il est impossible de précise avec qu'elle objet cette atrocité avait été commise.

Quelque soit l'arme aucune femme n'aurait eu la force de porter de tels coups.

Un deuxième article annonça que bon nombres de témoins interrogé avaient affirmés avoir entendu deux voix provenant de la pièce ou le corps de la jeune fille avait été retrouvé.

La première voix plus grave seraient celle d'un français, mais sur l'identité de la deuxième les témoins ne sont pas d'accord. Certains affirmaient que c’était un russe d'autre un anglais d'autre un italien mais il n'avaient jamais étudier cette langue.

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