Devoir Surveillé de 3e en Français.

Références du devoir

Matière : Français

Code de la matière : FR31

N° du devoir : 2

Si devoir de langue,

précisez LV1 ou LV2 :

Temps passé à faire ce devoir : 2h

Aide éventuelle : Aucunes

Cliquez dans les zones bleues pour saisir les différentes informations demandées. Puis dans le menu [Fichier] d'Open Office, cliquez sur la commande "Enregistrer sous…" et changez le nom de ce fichier.

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votre prenomvotre nom-le code matière-dev et le rang du devoir.

Ainsi si vous vous appelez Jean Dupont et que vous déposez votre devoir n° 2 d'AN31, votre copie numérique devra être enregistrée sous le nom jeandupont-AN31-D2

ATTENTION : ne pas mettre d'accents, d'apostrophe, de points, de caractère #,…

Si votre devoir comporte plusieurs fichiers texte, rajoutez un petit "a" à la fin du nom du 1er fichier, un petit "b" à la fin du nom du 2ème fichier,…

Vos coordonnées

Indicatif  :

Nom  : Matsanga

Prénom : Anaïs Anaïs

Ville de résidence : Paris

Pays (si vous ne résidez pas en France) : France

Nom du professeur correcteur :

Observations générales du correcteur :

NOTE :

Saisissez votre devoir dans la cellule ("case") ci-dessous
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Cadre réservé au professeur correcteur

I - Questions (15 points)

1- Sur une planète, l'environnement la galaxie, la lumière venant d'un étrange soleil bleu. Pour les citation du texte pour "la lumière venait d'un étrange soleil bleu...", " et la pesanteur , double de celle qui lui était coutumière...", "... dans toute la galaxie..."

2- à propos du personnage principal :

a) Non nous ne savons pas l'identité du personnage principal.

b) Il est nommé par ''il''.

c) Les reprises anaphoriques qui désigne son métier est qu'il était trempé et tout boueux, il avait faim et il était gelé, est, il parle de la guerre, la colonisation des douze milles planètes, est le faîtes qu'il restait en alerte le doigt sur la détente.

3- La colonisation des douze milles planètes.

4- Ils sont désignaient par ''Les autres''

5- a) ''Des êtres monstrueux'', ''cruels'', ''hideux'', ''ignobles'', et ''répugnants''.

b) Péjorative.

6- et -7 Il ressent du dégoût et de la peur en le voyant car l'autre n'a pas d'écaille et il ne possède que deux bras et deux jambes. Pour le lecteur cette description fait penser à un humain, et c'est cela qui horrifie le personnage principale.

8- Je pense plutôt qu'il s'agit de tirer une leçon, de pouvoir s'accepter entre planètes différentes.

II - Réécriture (5 points)

« Elles étaient trempées et boueuses, elles avaient faims et elles étaient gelées, et un vent féroce leurs glaçaient les yeux. »

III - Dictée (5 points)

2 Novembre 1914

Je ne sais pas l'heure, je ne sais plus l'heure, je n'ai plus la notion du temps autrement que par le soleil et l'obscurité. Il fait grand jour et beau jour, le ciel d'automne est lumineux, si il n'est plus bleu. Je l'aperçois par dessus le remblai de terre et de cailloux de la tranchée, et mon sac me sert de fauteuil, mes genoux touchent la paroi pierreuse. «...»

A ma gauche, le dos énorme d'un camarade qui fume en silence me cache l'extrémité de la tranchée. Le bruit affaibli des conversations, le cri d'un corbeau, le son d'un obus qui file par instants vers les lignes françaises troublent seuls le silence. Nous sommes sales comme des cochons, c'est à dire blancs comme de la farine : tout est blanc, la peau, le visage, les ongles, la capote, les cartouchières, les souliers.

Etienne Tanty, Paroles de Poilus.

IV - Expression écrite (15 points)

Je dois avouer que j’ai  peur. Mourir m’est égal mais voir ces monstres m’effraye, me terrorise. Malheureusement ça ne pouvait qu’être l'un d’entre eux, la seule race qui puisse exister. Je me retournai lentement et découvris progressivement ce qu’il était même si je savais à quoi m’attendre. C’était un des compagnons de L’Autre que je tuai, il avait réussi à s’enfuir et à se cacher, rempli de peur, en plein désarroi. Ses gémissements étaient horribles, ils les émettaient tout en étant accoudé sur le mur, ou du moins ce qu’il en reste. Malgré l’épuisement qu’il laissait paraitre il avait encore la force dans son regard, ses yeux globuleux dont je pouvais distinguer chacune des veines montraient toute la haine qui semblait être éprouvée par ce mauvais, laid, abjecte, atroce, épouvantable, abominable, horrible créature qui n’était qu’un cadavre vivant et dénué de toute forme d’humanité, qui n’attendait qu’une seule chose : faire encore une fois de plus un geste machinal pour la énième fois sur son arme dans le but de m’ôter la vie parce qu'on le lui a demandé et qu’il faisait partie du camp adverse . J’en avais la certitude, c’était la fin au moins je n’aurais plus à revoir ces êtres ignobles, mais il succombait petit à petit à l’anéantissement qui l’envahissait, il tomba d’abord sur ce qui semblait être ses genoux et puis sur tout son corps ou du moins ce  qui paraissait en être un. Il était là dépourvu de toute vie il me fit penser à son compagnon. Enfin je regardai le même tableau, encore une fois.