DM La Fontaine : Fables

DM La Fontaine : Fables

Biographie :

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Jean de la Fontaine est un célèbre poète du 17ème siècle . Il a été élevé dans un milieu bourgeois , étant le fils du conseiller du roi . Il a étudié la rhétorique latine et à ensuite entamé des études de droit qu’il a interrompu pour entrer à l’oratoire , mais repris le droit après un demi  . Il eu sa première femme à

26 ans , qui se nommait Marie Héricart . La Fontaine fréquente les milieux lettrés car amoureux de lettre au fond de lui . Ses premiers dans ce domaine ne furent pas très concluant , il essaya quel que chose avec sa pièce l’Enuque en 1654 , mais sans grand succès . Mais Il ne se décourage pas est continues d’ écrire dans l’optique un jour , de trouver les prestiges tout en exerçant sa passion . Puis vains le jour  où deux longs poèmes , Adomis en 1658 et le Songe de Vaux 1659 , le firent  décoller et démarrer sa carrière d’artiste . C’est en 1668 que parais  , pour la première fois ses livres de fables . Puis , plus tard  il rencontre les grands auteurs du moments : Molière ,Racine  

ou encore    Boileau . Puis viens le temps de sa consécration ou il rédigea un livret d’opéra pour Lully (Daphné)  , qu’il lui valu d’être élu à l’Académie   française en 1684 . A  la fin de sa vie , il rédigea ses dernières fables  , il en aura écrit 240 au total , puis succombe le 13 avril 1695 .

Fable 1 : LE RAT QUI S'EST RETIRE DU MONDE

Résumé

Cette première fable raconte l’histoire d’un rat , qui en quête de solitude , va partir  s’exiler et démarre une nouvelle vie dans un fromage de Hollande où seul lui subsiste . Ce rat solitaire va très vite trouver un refuge et de quoi , ce nourrir , il n’a besoin de rien d’autre pour apprécier  sa vie , on nous dit même qu’il manquait tellement de rien qu’il devient gros et gras en l’espace de qu’elle que jours . Des représentant du « peuple rat » vont venir à sa rencontre pour lui demander de l’aide . Ils expliquent à l’exilé ,

le « peule chat » a bloqué l’accès à la ville , faisant prisonnier les habitants de la cité . Les députés rats pensaient que l’ermite serai alarmer par la situation , mais il n’en fit rien , et rétorqua que la seul chose qu’un pauvre rat comme lui  puisse faire et de « prier le ciel » , pour qu’il leur soit favorable .

Choix de sélection

J’ai choisit cette fable car je l’ai trouvé tout particulièrement intéressante et intrigante : ici , Jean de la Fontaine nous parle très clairement à travers le personnage du rat , d’un homme qui fuit son ancienne vie , pour en créer une nouvelle vie , sans personne pour le déranger et seul . Le rat va être comparé par de multiples reprises par l’auteur comme un homme de foie , on le voit avec les thermes « notre ermite » , « dévot » et « nouveau saint » , insistant bien sur le fait qu’il y a une réelle comparaison du personnage avec un homme voué à Dieux . Mais paradoxalement , quand les représentant du peuple rat , que l’on peut comparer dans la réalité à des paysans , vont demander de l’aide à ce dernier , là o nous lecteur on s’attend à une action charitable du personnage , il ne fit rien et ne daigne lever le petit doigt pour aider son peuple  . L’égoïsme du rat est notamment renforcé par , la réaction de ce dernier face à la demande des députés rats « une aumône légère » , qui s’oppose à la réponse de l’ermite « les choses qui se passent ici bas ne me regarde plus » et termine par « prier le Ciel qu’il vous aide en ceci » pour que

leur sort soit moins funeste . Ce qui est d’autant plus intéressant c’est que le poète , va jouer avec l’image que se faisait les lecteurs du rat au début de la fable . Il va s’adresser directement à eux et leur  demande « que voulait-il représenter à travers le personnage du rat ? » , et avait anticipé que l’image qui nous viendrai en premier serait un moine car de nombreuses fois assimilé à l’image d’un fidèle qui fuit la société pour se consacrer à sa foie , on le voit   avec le vers «Dieux prodigue ses biens , à ceux qui font vœux d’être sien » . Mais va répondre que le rat représentait un Dervis , soit un turc menant une vie de pauvreté et austère . Il conclut on disant que d’après lui , un moine est toujours charitable . On a très clairement de la part de l’auteur  , une volonté

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