Corpus sur les vanités

Fayssel Rakib 1ES

La laideur en poésie, est un thème trés original, est qui n'est pas souvet utilisé et traité. Ce corpus est composé de 4 poèmes, le prémier est une oeuvre de François Villon, publié en 1462 et intitulé "La ballade des pendus". Le déuxieme texte, qui a été publié en 1564, s'intitule "Vous faites voir des os", et est une oeuvre de Paul Scarron. Le troisième, qui s'intitule "Les Contemplations", a été publié en 1856 et est une oeuvre de Victor Hugo. Le quatrième et dernier texte, "Chant IV" extrait des "Chants de Maldoror", a été écrit par Lautreant en 1869.

Comment les auteurs evoquent-ils la laideur dans leurs poèmes, vu que c'est le point en commun de ces quatre textes?

En prémier, nous évoquerons les differnets formes poètiques presentes dans ces textes pour décrire et traiter les laideurs. Ensuite nous verrons et nous expliqueront les differents champs lexicaux présents dans ces textes. Enfin nous verrons en quoi on peut comparer certains des ces poèmes entre eux.

                              Tout d'abord, chaque texte a été écrit d'une differente forme poètique par rapport aux autres oeuvres: "La ballade des pendus" est une ballade, "Vous faites voir des os" est un sonnet, "Les Contemplations" est une ode, et enfin le "Chant IV", extrait des "Chants de Maldoror" est un poème en prose.

                                Ensuite, les deux premiers textes utilisent beaucoup les champs lexicaux de la pourriture et de la décomposition: dans le prémier texte on peut le constater dans les vers 7-11-12: "...devorée et pourrie...le soleil nous a seché et noircis...nous ont crévé les yeux", dans le déuxième texte on peut le voir dans les vers 2-3-4: "Dont les un sont entiers et ne sont guère blancs...les autres de fragments noirs comme de l'ébène...et tous cariés et tremblants", ce qui provoque un sentiment de dégout dans le lecteur. Les deux derniers textes utilisents les champs lexicaux de la ature et de la décomposition: dans le troisième texte on peut le voir dans les vers 5-12-19: "...elles sont maudites, chetives...l'araignée un gueux..plaignez la laideur", et dans le quatrième texte on peut l'observer dans les vers 2-4-6: "Les croutes et les escarres...Sur ma nuque pousse un enorme champignon...mes pieds ont pris racine", ce qui nous provoque un effet bizzarre à cause de la description de ces metamorphoses.

                                Enfin, on peut s'aperçevoir que "La ballade des pendus" et "Les Contemplations" ont des points en commun au niveau du lexique et de l'objectif prédéterminé, tout comme "Vous faites voir des os" et "Chant IV". En effet le prémier et le troisème texte traitent la pitié et la compassion, le premier texte envers Dieu et envers l'Eglise, où Villon fait appel à la compassion et à la prière, demandant à Dieu la rédemption des péchés de toute l’humanité, et le deuxieme texte envers l'araignée et l'ortile, vient de la compassion de Victor Hugo à l'égard de tous les êtres vivants et toutes les créatures de Dieu. Tous les êtres vivants sont dignes d'être aimés, y compris les plus laids car la Création aspire à la rédemption et à l'amour.

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