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Corpus Sur L'art Poétique: Rimbaud, Hugo, Boileau, Cendrars

Compte Rendu : Corpus Sur L'art Poétique: Rimbaud, Hugo, Boileau, Cendrars. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  23 Février 2015  •  580 Mots (3 Pages)  •  1 565 Vues

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Les quartes poèmes que nous allons étudier dans notre corpus sont des poèmes qui mettent en valeur la volonté du changement et qui nous exhibent l’évolution de la poésie au fil du temps. Nicolas Boileau critique les nouveaux poètes et leur donnent quelques conseils dans son poème « art poétique », de plus, Victor Hugo dépose une violente critique au classicisme dans son oeuvre « réponse à un acte d’accusation », d’autre part, Arthur Rimbaud prophétise la poésie dans son œuvre « lettre à Paul Demeny dite du voyant » et enfin Blaise Cendrars sollicite la liberté du poème et de sa forme dans sa composition « Académie Medrano ».

Dans art poétique, Nicolas Boileau présente une grande critique envers le travail « bâclé », il vénère la langue poétique et la défend « un vers ampoulé l’orgueilleux solécisme » « sans la langue, en un mot, l’auteur le plus divin, est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain ». de suite il va donner des conseils d’ordre formel pour composer un poème classique « travaillez à loisir » « ne vous piquez point d’une folle vitesse » et il privilégie le travail régulier et constant « vingt fois sur le métier » « hâtez-vous lentement » et il insiste sur la cohérence du poème

Dans « réponse a un acte d’accusation », Victor Hugo n’évoquera pas comme Boileau des problèmes de travail ou compostions de poème, il abordera la question du vocabulaire utilise dans les œuvres poétiques. En premier temps il sollicite l’utilisation d’un lexique pauvre il personnifie les mots « les mots bien ou mal nés vivaient parqués en castes » « les uns nobles …les autres tas de gueux ». Il rejette la langue classique celle d’une caste bien né noble appartenant un a ancien régime celui de « Versailles ».Hugo déclare une révolution contre le classicisme, indique le début d’une nouvelle ère et fini son poème par « je nommai le cochon par son nom pourquoi pas ? »

Dans cette lettre a son ami, Rimbaud suit les pas de Victor Hugo vers la révolution contre le classicisme, en effet sera un des fondateurs du poème moderne, il s’oppose aux règles de bienséances et au sexisme « servage de la femme » mais il ne s’arrête pas a la il cherche a créer, composer « du nouveau » un poème compréhensible par tous « une langue universel » résilier les distinctions entre les catégories « tout, parfums, sons, couleurs de la pensée ».

Dans cette œuvre , Cendrars ne donne pas son avis sur le poème et son contenu mais il l’exprime implicitement. il ne respecte pas la forme, la topographie du poème, il n’ya ni de strophe ni de rime les mots sont italique gras et à l’envers et il utilise des accolades. ll compare implicitement le monde du cirque et les poètes, il dit que le poète doit faire comme l’acrobate faire des tours donc renverser les mots et donc déstructurer le poème classique et laisse la possibilité au lecteur d’imaginer et interpréter se qu’il veut

En conclusion, même si ses quartes œuvres sont très différentes mais elles ont un point commun : la fois des poètes en elles. Même si ses œuvres sont composes dans différentes époques mais elles ont tout de même le même pouvoir donner des images différentes de la poésie la révolutionner pour l’ameliorer.

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