Compétences d’écritures : L.33. ... Et l’ombre de la nuit descendait.

                              Compétences d’écritures :

L.33. … Et l’ombre de la nuit descendait.

1-   Kazirra pleura comme un homme ayant perdu les choses essentielles a la vie, l’amour, sa famille, son chien et tous ses jours perdus. Apres avoir vidé toutes les larmes de son corps, il se leva, trébucha, se releva déterminé a la recherche d’un ami sur lequel se reposer. Mais quand il vit que ses amis n’étaient la que pour sa fortune, il se rendit compte qu’il avait tout perdu. Kazirra repris une     5-   longue respiration puis tomba sur le sol froid, où il revoyait un par un ses jours perdu. Il pris un moment a rentrer chez lui, enfin installé au chaud de sa cheminée, il contempla les flammes ardentes sur le bois et la robe rouge de son vert de vin qui lui fessait penser a sa femme. Les jours passèrent et il buva à s’en rendre malade. Un jour, il se promena le long d’un ravin, regarda autour de lui, et il se rappela de se jour. Il commença à s’affoler et décida de rentrer chez lui. Le lendemain,                       10-   il demanda à toutes les personnes qu’il croisait s’il le connaissait. Mais personne ne le connaissait, et il fini par se dire que ce ne devait être qu’un rêve. Mais dix jours plus tard l’homme revient chez kazirra. Il ne l’avait pas revue depuis longtemps, et il était la, devant lui, il sorti deux caisses inconnue du camion…

Puis il dit :

15-   « Bonjour, kazirra, alors comme ca, je ne suis qu’un rêve ? »

Kazirra balbutia et ses yeux s’écarquillèrent en disant :

«  Vous… Vous êtes venu… Pour me rendre mes…Mes journées…perdues ? »

L’homme haussa les épaules :

« Je venais d’abord te demander si tu avais compris qu’il fallait recommencer ses journées                 20-   perdues ? »

Kazirra lui lança tout en le regardant :

«  Oui, bien sûr ! Mais qu’es ce que c’est que ses caisses ? »

L’homme lui tendit ! Kazirra les ouvris et des gouttelettes chaudes descendit de ses joues. La première caisse, était le moment ou Kazirra et Graziella se sont égueulées, quelque jours avant        25-    qu’elle ne parte. La deuxième était, un beau jour d’été ou il devait partir pour son travail, deux ans avant que Josué son frère ne soit a l’hôpital et deux ans avant que son chien ne l’attende.

L’homme le considéra gravement :

«  Sais tu que si tu n’as pas accompli la vie que tu souhaite la actuellement, tu le regretteras toute ta vie, et je regretterais de t’avoir rendus ces caisses ! »

30-    Kazirra le contempla dans les yeux :

 «  Je ferai de mon mieux, mais je ne garantis rien ! »

L’homme esquissa un sourire, et comme la première rencontre disparut dans l’air. Kazirra avait les  33-  deux caisses en main et il n’avait plus qu’une chose à faire ! Repartir a zéro…

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