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Commentaire Composé Scène 1 L'atelier - Jean-Claude Grumberg

Compte Rendu : Commentaire Composé Scène 1 L'atelier - Jean-Claude Grumberg. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Novembre 2012  •  756 Mots (4 Pages)  •  7 768 Vues

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La pièce débute sur une conversation en cour : « aussi ». Le discoure de Simone est souvent interrompu par des points de suspension … Il y a des non-dit « il pourra même pas se remettre à travailler » : phrase tournée au futur simple se qui veut dire que Simone croit encor au retour de son mari. « Ils étaient à la campagne en zone libre » Simone a envoyer ses enfants en zone libre, son identité commence a se dessiner. Il y a beaucoup d’indication scénique.

Le spectateur et le lecteur sont en découverte de la pièce, ils sont dans une attente mais le lecteurs a l’avantages des didascalie, d’où la nécessiter d’un bon fonctionnement de la scène d’exposition.

I) efficacité de l’ouverture : On a un jeu de devinettes avec des conversation à caractères allusif, on a seulement des morceaux d’infos, des non-dits, de l’implicite, des sujets taboux.

La valeur informative : cadre spatiaux temporel : 1943-1945 en zone libre après la guerre. Un matin très tôt. Le lieu : un atelier de couture (vocabulaire de la couture lignes 30-35-50) ce qui défini un cadre et une atmosphère de travaille.

Les personnages : ils sont nombreux pour une scène d’ouverture, on doit prendre en compte les présents et les absents : les deux enfants, la sœur et le mari de Simone. Le spectateur ne connaît pas tout les prénoms. Les personnages présents ne sont pas individualisé c’est à travers leurs paroles que se dessine les absents, il y a une insistance sur l’absence, la présence des absents.

L’intrigue ou l’action : on a peut d’indices, on sait juste que Simone est nouvelle c’est l’élément perturbateur. Il y a un travail sur la mémoire et le poids de l’histoire ; « Ils l’ont prise » idée d’une capture pour ne pas dire déportés, arrêté. Simone utilise le futur tandis que Hélène utilise le passé. Elles sont toutes les deux dans une situation d’attente, Hélène a une lucidité que n’a pas Simone, Simone n’accepte pas que son mari soit parti. La pièce va se construire autour de l’illusion du retour, du souvenir des disparus dans une attente dramatiques.

Les personnages arrivent les uns après les autres et se présente a Simone car elle est nouvelle, ils se présentent donc entre eux et au spectateur aussi, il y a une scène d’exposition dans une scène d’exposition, avec le mécanisme de la double énonciation. L’auteur utilise un procédé naturel, c’est donc une ouverture efficace et originale.

II) Une scène qui mime le naturel :

Beaucoup de mouvements : elles n’entrent pas toutes de la même façon leurs geste contribues au réalisme de la scène près de la vie réelle, quotidienne, elles jouent leurs gestes quotidien. Il y a une illusion théâtral très forte, de l’hyper réalisme dans l’effervescence d’un atelier de couture.

Variété et mélange des tons : réalisme registre pathétique en demi teinte jamais exprimer mais évoquer qui repose sur la situation tragique, évocation des disparut, de la misère financière. Simone un personnage qui déclenche la compassion :dimension pathétique ( plus d’argents angoisse cacher envers ses enfants [lignes 27-28] séparation forcé) le pathétique est aussi exprimer par une ponctuation expressive, les points de suspensions exprime

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