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Ce Que Disait Alice

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Par   •  27 Février 2013  •  1 031 Mots (5 Pages)  •  855 Vues

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Suite aux transformations de valeurs de la Révolution tranquille, divers récits modifie l’image véhiculer depuis de nombreuse époque. Anne Hébert et Marie-Claire Blais sont deux femmes qui exploitent les anciennes valeurs et qui les modifie par leur écriture. Ces femmes en sont la preuve. Elles ont réussit dans un milieu d’homme. Elle ne projet pas l’image conventionnelle de la femme au foyer. Plus tard, dans les changements d’écriture, Normand de Bellefeuille écrira après plusieurs poèmes le recueil de nouvelle, Ce que disait Alice, en 1989. Sept nouvelles traitant de la même femme font la synthèse de chaque chapitre. Par le narrateur, nous pouvons remarquer qu’il a une vision négative et positive d’Alice. Effectivement, la vision qu’il a envers sa grand-mère n’est pas constante. Alors, par les points de vue de l’enfant tantôt négatif tantôt positif, nous comprendrons qu’il a une vision ambivalente d’Alice.

Il est possible de constater que le narrateur du recueil Ce que disait Alice avait une vision négative d’Alice. Tout d’abord, champs lexical adopté par le narrateur face au sang que lui fait boire Alice, dans la nouvelle Le sang démontre une certaine répugnance envers celle-ci: «vilaine tranche rouge», «écrasait», «broyait», «pressait», «giclait», «trop poivré», «trop salé», «âcre». Les images qui sont retenues par le narrateur ne donnent pas une bonne impression de l’attitude qu’a Alice envers lui. À la fin de la nouvelle, il donne même l’impression de se souvenir d’Alice que comme la femme qui lui fessait boire du sang. Aussi, Alice semble avec orgueil vouloir absolument changer l’image de la famille qui a trop souvent passée pour des imbéciles dans la nouvelle Socrate! : « Elle avait tellement insisté. […] défiant l’objectif […] ose, port[er] […] la coupe a sa bouche. En voyant l’échec de la situation, Alice tente de sauver les meubles en continuant de jouer la comédie dans l’espoir de modifier l’image que projet sa famille. Malheureusement, la situation est un échec. Les moqueries qui sont portées à l’endroit d’Alice prouvent que quelquefois le narrateur à une vision négatif de sa grand-mère. Par la suite, les métaphores utilisées par le narrateur à l’endroit de sa grand-mère dans la nouvelle La clé, expliquent que celui-ci ne conserve pas de bon souvenir d’Alice. « […] me dépossède plutôt de mon enfance, me vole jusqu'à l’image de cette grand-mère et des ses insupportable tendresse..». Le narrateur établit un certain détachement avec sa grand-mère en l’appelant «cette grand-mère» et ne supportant pas les marques d’amour qu’elle lui fait. En plus, il l’accuse de lui vole sa jeunesse… Alice avait le vilain défaut de l’orgueil, des habitudes étranges (boire du sang) et des superstitions qui l’éloignaient du narrateur. Ainsi, elle projetait une image négative aux yeux de son petit-fils.

Dans d’autres nouvelles, le narrateur développe une vision positive d’Alice. D'abord, Alice apporte le narrateur à l’église et lui fait plaisir en lui donnant une pièce supplémentaire à donner à la charité, dans la nouvelle L’ange : «Alice d’abord, […] puis m’en donnait une, noire, qu’à mon tour j’échappais bruyamment dans le crâne vide. […]

-Encore une! […]

-D’accord

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