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Analyse : la critique religieuse dans la philosophie des Lumières

Commentaire de texte : Analyse : la critique religieuse dans la philosophie des Lumières. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Juillet 2017  •  Commentaire de texte  •  365 Mots (2 Pages)  •  629 Vues

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La philosophie des Lumières a apparu au XVIIIe siècle qui voulait "éclairer" la société, en la rendant plus juste et raisonnable. Remettant en question la vision “teocêntrica” qui a dominé l'Europe de l' ge Moyen. La religion Catholique a continué le même de l' ge Moyen. Les idées religieuses basées sur une série de dogmes dictés par l'Église. Les dogmes se sont fait avoir comme des vérités sans réponse. Tout ce que cela a osé s'opposer aux punitions reçues de la part des autorités religieuses. Les idées novatrices ont été réprimées, donc on a expliqué tout comme la manifestation de la volonté de Dieu. Avec les Lumières, l'Église a commencé à être l'objet des critiques, parce que les Lumières croyaient que l'Église a empêché la construction d'un monde raisonnable et meilleur. Avant les Lumières, les rois étaient l'absolutistes et ils ont compté avec l'assistance de l'Église catholique, maintenir sa position, parce qu'ils ont été interprétés comme Dieu dans la Terre et personne n'a interrogé Dieu, autrement dit, ils étaient des rois religieux et politiques. Avec les Lumières, il y avait la séparation de la puissance des rois avec l'Église catholique, parce que les lumières ont critiqué les rois absolutistes qui ont perdu sa puissance avec l'Église.

La philosophie des Lumières, contrairement à ce que peut laisser penser l'analyse rétrospective qui la voit comme la mère du laïcisme à la française (c'est-à-dire intransigeant), n'est pas contre la religion. La critique qui est faite contre cette dernière vient du fait de son utilisation par la royauté comme outil de légitimation et donc de domination, sur des esprits/systèmes symboliques encadrés de manière omnipotente, tant dans l'espace que dans le temps, par les autorités ecclésiastiques (paroisses, etc). De plus, l'invocation de la religion comme unique vérité et la référence récurrente à sa définition pessimiste de l'homme (qui découle du péché originel) est antinomique avec la science et la nouvelle croyance dans le progrès (qui s'allie à une conception positive de l'homme). Pour conclure, on peut donc dire que, sans être contre "Dieu", la philosophie des Lumières s'oppose à la religion en tant qu'institution sociale de domination cherchant à se perpétuer et tentant pour cela de figer la dynamique humaine.

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