Le mauvais renard

Cent rêves dans une nuit

Cent rêves dans une nuit, ou cent nuits dans un rêve,

Où l’esprit sans repos sur les cimes s’élève,

Cherchant dans les ténèbres un éclat d’harmonie,

Un fragment d’infini qu’aucune main n’unit.

Les songes tourbillonnent, vastes océans d’ombre,

Ils tissent des palais, des abîmes sans nombre,

Et dans l’éclat fragile d’un espoir suspendu,

S’éveillent les mirages d’un monde jamais vu.

La beauté de l’âme n’est que souffle et mystère,

Un reflet, un frisson, un secret éphémère,

Que chaque regard cherche sans jamais le saisir,

Tant la lumière fuit quand on croit l’engloutir.

Subjective et mouvante, elle échappe aux mensonges,

Elle danse dans l’ombre, s’épanouit dans les songes ;

Nulle règle ne borne ses élans souverains,

Nulle main ne modèle ses contours incertains.

Mais au cœur de ce voile où les mortels s’égarent,

Brille une certitude que nulle nuit ne pare :

La beauté véritable, en sa source immortelle,

Est de caractère divin, pure, forte et fidèle.

Par la volonté de Dieu, elle naît, elle s’élève,

Elle franchit le néant, elle épouse le rêve,

Et dans le moindre souffle, dans le moindre éclat,

Elle laisse un serment que le silence scella.

Cent rêves dans une nuit, ou cent nuits dans un rêve,

Ainsi marche l’âme, ainsi l’espoir s’élève.

Par la volonté de Dieu, elle naît, elle s’élève,

Elle franchit le néant, elle épouse le rêve,

Et dans le moindre souffle, dans le moindre éclat,

Elle laisse un serment que le silence scella.

Cent rêves dans une nuit, ou cent nuits dans un rêve,

Ainsi marche l’âme, ainsi l’espoir s’élève.Cent rêves dans une nuit

Cent rêves dans une nuit, ou cent nuits dans un rêve,

Où l’esprit sans repos sur les cimes s’élève,

Cherchant dans les ténèbres un éclat d’harmonie,

Un fragment d’infini qu’aucune main n’unit.

Les songes tourbillonnent, vastes océans d’ombre,

Ils tissent des palais, des abîmes sans nombre,

Et dans l’éclat fragile d’un espoir suspendu,

S’éveillent les mirages d’un monde jamais vu.

La beauté de l’âme n’est que souffle et mystère,

Un reflet, un frisson, un secret éphémère,

Que chaque regard cherche sans jamais le saisir,

Tant la lumière fuit quand on croit l’engloutir.

Subjective et mouvante, elle échappe aux mensonges,

Elle danse dans l’ombre, s’épanouit dans les songes ;

Nulle règle ne borne ses élans souverains,

Nulle main ne modèle ses contours incertains.

Mais au cœur de ce voile où les mortels s’égarent,

Brille une certitude que nulle nuit ne pare :

La beauté véritable, en sa source immortelle,

Est de caractère divin, pure, forte et fidèle.

Par la volonté de Dieu, elle naît, elle s’élève,

Elle franchit le néant, elle épouse le rêve,

Et dans le moindre souffle, dans le moindre éclat,

Elle laisse un serment que le silence scella.

Cent rêves dans une nuit, ou cent nuits dans un rêve,

Ainsi marche l’âme, ainsi l’espoir s’élève.

Par la volonté de Dieu, elle naît, elle s’élève,

Elle franchit le néant, elle épouse le rêve,

Et dans le moindre souffle, dans le moindre éclat,

Elle laisse un serment que le silence scella.

Cent rêves dans une nuit, ou cent nuits dans un rêve,

Ainsi marche l’âme, ainsi l’espoir s’élève.

Cent rêves dans une nuit

Cent rêves dans une nuit, ou cent nuits dans un rêve,

Où l’esprit sans repos sur les cimes s’élève,

Cherchant dans les ténèbres un éclat d’harmonie,

Un fragment d’infini qu’aucune main n’unit.

Les songes tourbillonnent, vastes océans d’ombre,

Ils tissent des palais, des abîmes sans nombre,

Et dans l’éclat fragile d’un espoir suspendu,

S’éveillent les mirages d’un monde jamais vu.

La beauté de l’âme n’est que souffle et mystère,

Un reflet, un frisson, un secret éphémère,

Que chaque regard cherche sans jamais le saisir,

Tant la lumière fuit quand on croit l’engloutir.

Subjective et mouvante, elle échappe aux mensonges,

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