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Y a-t-il une suite ou une fin de la révolution française entre le Consulat et l'Empire ?

Fiche : Y a-t-il une suite ou une fin de la révolution française entre le Consulat et l'Empire ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  29 Février 2024  •  Fiche  •  483 Mots (2 Pages)  •  48 Vues

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Après son coup d’état du 9 au 10 novembre 1799 dû à une instabilité politique et son prestige militaire, Napoléon Bonaparte prend le pouvoir marquant la fin du directoire et le début du Consulat en proclamant un nouveau gouvernement Napoléon s’élit empereur en France et étend son pouvoir dans toute l’Europe en se faisant accepter par la suite grâce à un plébiscite, et il va ensuite créer l’Empire qui est l’autorité souverain d’un chef d’Etat qui porte le titre d’empereur. L’Ensemble de son Etat est sous sa soumission à partir de ce moment.

Y’à t-il une suite ou une fin de la Révolution française entre Consulat et Empire ? Tout d’abord nous allons voir si il y a une rupture entre le nouveau gouvernement et la Revolution française puis si contrairement il y a une conversation des acquis et pour finir le positionnement ambiguë de Bonaparte face à cela.

1 / Rupture avec la Revolution

-Décembre 1799 : Bonaparte impose le test de la constitution de l’an VIII

-18 mai 1804 : La république française est confiée à l’empereur

-Les Assemblées perdent toute influence

-1807 : suppression du tribunal

-Le corps législative vote les lois sans en discuter et le Sénat reste tout à fait docile

-Bonaparte censure et contrôle la population : les mouvements ouvriers

-Possibilité de s’élever

-Retour a l’ordre je ne suis Ayant rejeté le joug ancien, les hommes fixeront leurs nouvelles lois et normes à l'aide de moyens purement humains – plus de place ici pour la magie ni pour la révélation. À la certitude de la Lumière viendra se substituer la pluralité des lumières. La première autonomie conquise est celle de la connaissance. Celle-ci part du principe qu'aucune autorité, aussi bien établie et prestigieuse soit-elle, ne se trouve à l'abri de la critique. La connaissance n'a que deux sources, la raison et l'expérience, et toutes deux sont accessibles à chacun. La raison est mise en valeur comme outil de connaissance, non comme mobile des conduites humaines, elle s'oppose à la foi, non aux passions. Celles-ci, au contraire, sont à leur tour émancipées des contraintes venues d'ailleurs.

La libération de la connaissance ouvre la voie royale à l'épanouissement de la science. Tous voudraient alors se mettre sous la protection d'un personnage qui n'est pas un philosophe mais un savant : Newton joue pour le Siècle des lumières un rôle comparable à celui de Darwin pour les siècles suivants. La physique fait des progrès spectaculaires, suivie par les autres sciences, chimie, biologie et même sociologie ou psychologie. Les promoteurs de cette nouvelle pensée voudraient apporter les lumières à tous, car ils sont persuadés qu'elles serviront au bien de tous. Ils favoriseront donc l'éducation sous toutes ses formes, depuis l'école jusqu'aux académies savantes ; et la diffusion du savoir, par des publications spécialisées ou par des encyclopédies qui s'adressent au grand public.

Pour la liberté

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