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Devoir de mémoire : Pologne, visite des camps d'Auschwitz

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Par   •  1 Novembre 2017  •  Dissertation  •  1 148 Mots (5 Pages)  •  736 Vues

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POLOGNE – Visite des camps d'Auschwitz

C'est après une longue journée de trajet et de fatigue que nous atterissons en Pologne, à Cracovie. Nous y sommes et nous l'attendions depuis des mois. Le temps d'une nuit et de se reposer pour nous retrouver des le lendemain sur le chemin du camp d'Auschwitz. Nous traversons les paysages enneigés de la Pologne et nous y voilà déjà.

Au loin, ce porche, cette fameuse entrée, ci connue de tous et à ce moment même, je pense qu'aucun d'entre nous ne réalise que nous y sommes enfin. Les premières photos... Malgrè le froid de février, il faut imortaliser ce moment, cet endroit. Et nous voilà prendre le chemin de ce portail, chaque pas nous rapproche de cet immence endroit.

 

La journée débute avec la visite extérieur, Birkenau, nous longeons les voies de chemin de fer par lesquelles sont arrivés des milliers d'êtres humains et sur lesquelles personnes de fera voyage retour.

 

Le camps est immense, il s'étends à perte de vue. Nous avançons, nous visitons, la guide nous explique, on écoute avec attention, on essaie de comprendre et de réaliser ce qu'il s'est vraiment passé sous nos pieds. Et on voyait au loin des baraquements en bois, alignés les uns à cotés des autres, des ruines à perte de vue. Le camp était cloturé par des barbelés autrefois éléctrifiés.

 

Je pense qu'il y a un enorme différence entre voir et savoir les choses, je savais ce qu'il  s'était passé ici, mais je n'arrivais pas à imaginer qu'elles étaient réelles. Etre là m'aide à me rendre compte de la réalité des faits, me permet de visualier les choses autrement et avoir une autres visions des faits racontés.

Nous continuons la visite, toujours d'un froid hivernal nous accompagnant, j'imaginais les prisonniers qui devaient survivre et effectuer les mêmes trajets que nous. Je me senti coupable intérieuremement de me plaindre du froid quand je savais qu'ils n'avaient que d'infimes couches de tissues sur eux et de vieilles chaussures complètement inadaptés. Pour moi, il était impossible de survivre dans de telles conditions bien que j'imaginais pas à quelle point tout cela était difficile.

 

Des ruines, des restes de batiments où sont mort des millions de personnes. Il est tellement difficiles de s'en rendre compte, même sur place mais tout ce désastre est malheureusement bien réel.

Nous avons poursuivi la visite des latrines et des baraques, où étaient disposées les couchettes où dormaient les prisonniers. Leurs couchettes étaient impressionnantes et m'ont particulièrement attristé, surtout lorsque l'on sait qu'ils y dormaient par dizaine par étages, grâce malheureusement à leurs extrêmes maigreurs. Il me semblait encore une fois impossible de dormir dans ces conditions et la culpabilité me pris une nouveles fois. C'est a cet instant précis que j'ai réalisé la chance que j'ai au quotidien et en même temps de l'attrocité de ce qu'ils ont vécu.

La visite de Birkenau touche à sa fin. Le paysage me paraît vide mais je sens les lieux hantait de souvenir, ce qui me donne froid dans le dos. Aucun mot ne peux décrire la sensation et le sentiment exact que j'eu durant cette visite.

Auschwitz I. Nous y voici.

Nous voilà enfin à l'entrée de Auschiwtz I, en dessous du fameux portail inscrit « Arbeit Macht Frei » qui signifie «  Le travail rends libre », ce qui pour moi reste très contradictoire quand on sait ce qu'il s'est passé.

Auschiwtz I a été transformé en musée, avec dans chaques blocks de nombreuses photos, objets et tas de choses très significatives. Nous avons visité chacun des blocks et un d'entre eux m'a particulièrement touché, celui où se trouvait les affaires personnelles des personnes exterminées. Celui-ci m'a beaucoup marqué, et fut d'autant plus impressionnantes à visité, avec des tonnes de lunettes, reste de cheveux, chaussures, valises... Cela laissa un silence et me laissa moi-même abasourdit.

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