La chambre des officiers

Le journal d’Adrien à la guerre

J’ai choisi le titre «  Le journal d’Adrien à la guerre » parce que je trouve que le livre raconte l’histoire d’Adrien pendant la guerre et après la guerre  et qu’il montre toutes les souffrances qu’il y a dans l’armée et qu’on vécues les soldats pendant la guerre en particulier les ce qu’on appelle les gueules cassées.

Extrait de la page 66 ligne 5 à 29.

« Pierre Weil, le pilote de brûler, est recouvert de matière grasse sur le visage et sur les mains. Lorsqu’il a été touché, sont  moteur s’est enflammée, lui embrasant les mains et le visage autour des lunettes qui protégeaient ses yeux.
Comme le sort n’en n’avait pas encore terminé avec lui, l’atterrissage en catastrophe s’est achevé contre un arbre qu’il l’a protégé en dehors de l’habitacle, le sauvant de l’incendie en lui fracassant le visage.
Il n’y a  finalement que les morts qu’il puisse nous envier. Et encore, j’en doute.
Clémence  est en filigrane dans toutes mes pensées. Le sentiment de trahison qu’a fait naître sa lettre ne ma d’détourné d’elle que pendant quelques jours. Je sais que je la reverrai, cela dut-il prendre dès moi, des années. Je la regarderai se faner, je verrai le temps affaiblir ses contours, creuser sa beauté. Car moi,  le mutilé de la face, je ne vieillirai pas. La guerre m’a fait vieillard à vingt-quatre ans. Je n’ai pas eu  le courage de me suicider. J’ai eu le courage de ne pas me suicider. La rancœur, l’aigreur menaçant. Je fait face a l’ennemie intérieur. »

J’ai choisi ce passage du livre :

          D’une part il parle des souffrances de la guerre en décrivant le pilote brulé où par exemple quand il dit « le sauvant de l’incendie en lui fracassant le visage » il dit aussi « il n’y a que les morts qui puissent nous envier » pour dire que cela est tellement horrible, que personne ne voudrait subir cette souffrance. Il dit que c’est une catastrophe.

D’autre part il parle aussi de Clémence, il est triste de ne pas la voir, il souffre des lettres qu’elle lui envoie, il dit « Clémence est en filigrane dans toutes mes pensées » il parle du futur en disant «  la guerre m’a fait vieillard à vingt-quatre ans » il dit que la seule force qu’il a c’est pour ne pas se suicider.

        Cet extrait représente le résumé du livre de part le fait qu’il englobe son histoire du début à la fin. Tel que le fait d’avoir était détruit par la guerre, le fait d’avoir rencontrer le grand amour, et le fait de se reconstruire en pensant à l’avenir.

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