La Chambres Des Officiers

En août 1914, avant de prendre le train pour rejoindre son régiment, le lieutenant Adrien Fournier du génie, passe la nuit avec Clémence, qu'il rencontre à la gare, elle y déposait un ami a elle qui partait a la guerre. Lors d'une reconnaissance sur les bords de la Meuse, un éclat d'obus le défigure. En un instant, il est devenu un monstre, une "gueule cassée". Adrien ne connaîtra ni l'horreur des tranchées ni la boue, le froid, la peur ou les rats. Transféré au Val-de-Grâce, aprés de très longues et atroces heures de trajet, Adrien est désormais « hors combat »il rejoint une chambre réservée aux officiers. C'est le premier à rejoindre la chambre réservée aux officiers. Le médecin lui explique qu'il va s'occuper des son cas. On lui prévoit plusieurs opérations nécessitants beaucoup de repos et l'arrivée de nouveaux blessées. Adrien ne peut parler il se sert donc d'une ardoise et d'une craie pour communiquer. Il rédige une lettre pour informer sa famille mais souhaite la garder à distance pour qu'elle ne le voit pas dans cet état. La pièce dans laquelle il se trouve est sans miroir et il ne se voit que dans le regard des autres. Il ne peut manger seul, ne peut mâcher ce qui ne présage rien de bon sur son état. Lorsqu'Alain Bonnard, meilleur ami d'enfance d'Adrien, vient lui rendre visite, Adrien lit l'horreur dans son regard. Bonnard lui, moura au combat un peu plus tard. Il rencontra plusieurs hommes là bas, dont deux marquants, Weil et Penanster.

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