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Les français et la république, càd les français vis-à-vis de la république française de 1848-1851

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Par   •  15 Octobre 2014  •  Commentaire de texte  •  575 Mots (3 Pages)  •  707 Vues

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Les français et la république, càd les français vis-à-vis de la république française de 1848-1851.

Les français : le peuple- les paysans- les bourgeois- ceux qui sont hors du gouvernement. Ceux qui subissent les effets, les décisions du pouvoir exécutif, on peut penser à la population du quartier Est qui ne manquait pas de faire preuve de leur mécontentement durant les différents régimes qui se sont mis en place. On peut penser aussi au ressentiment des français avant la période de 1848, les raison qui ont poussé le sujet à s’intéresser à cette période.

Et = alors là on pense tout de suite à un lien, un rapprochement, une cohabitions entre le peuple et la république, la place que peut occuper le peuple dans la république, mais on doit surtout garder en tête que se sont surtout la manière de vivre des français par rapport à la république, dans ce libellé, la république passe au seconde plan on reste sur les français.

République = un nouveau modèle politique, encore sur des bases fragiles, la république de 1848 n’est qu’une seconde expérience de la vie républicaine, la coexistence entre les français et un nouveau régime

1848 arrivée de lnb en France, veut s’accorder avec le régime rép, il gagne les élections et devient membre de l’assemblée, retour d’un bonapartisme de masse, grave crise éco, division du gouv, barricades écrasées par le sang

Le champ geo : la France de 1848 sans la savoie haute savoie nice

Champ chrono : de la naissance de la II rep au coup d’etat de napoléon

Theme : social

Jean Jaurès a pu nous dire « sans la république, le socialisme est impuissant, sans le socialisme, la république est vide ». Cette citation nous pose indirectement la question de la place des français sous la république et surtout sur le sujet de la mise en place d’un régime socialiste dans un modèle aux fondements encore austères et fragiles. Sous l’expérience d’une république comme celle de 1848-1851, la France était constitué en majorité de paysans et d’une minorité appartenant aux classes bourgeoises ou plus aisées. Malgré leur position sociale, les français restaient malgré tous très engagés dans la question de leur avenir politique et social. En particulier, à l’intérieur même de ville-mère de la république, dans le quartier Est de Paris, où une part de la population ne manquait pas de faire valoir ses droits et revendiquer son opinion sur la constitution d’un nouveau régime. Il est clair qu’à l’époque, la république était un régime nouveau, faible, instable qui ne représentait pas objectivement les intérêts surtout sociaux des citoyens. Le parlementarisme n’en est qu’à ses débuts. Ainsi la coexistence s’annonce difficile entre les citoyens et un nouveau régime quasiment méconnu. La question sociale est renforcée par la situation urgente de la France économiquement, qui est frappée par une crise financière à l’origine agraire et aux conséquences néfastes sur la vie du pays. Cette dépression économique crée des tensions à l’intérieur du territoire, et la réponse de la république aux revendications de ses citoyens, n’est autre que la répression et la violence, mettant au second plan le bien-être et étiquetant la république

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