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CM3 : La guerre asymétrique de la conquête coloniale (1830-1936)

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Par   •  6 Novembre 2019  •  Cours  •  2 363 Mots (10 Pages)  •  445 Vues

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        CM3 : La guerre asymétrique de la conquête coloniale (1830-1936)

Bibliographie :

  • Jacque Frémeaux, de quoi fut fait l’empire. Les guerres coloniales au XIXe

 

  1. Table des matières

INTRO        1

a)        Quel ennemi dans la « terra nullius »        1

b)        Amélioration des outils        2

c)        Culture et espace des petites guerres        3

a)        Terre brulée et mission civilisatrice les voies de la pacification        3

b)        Des guerres indigènes        4

c)        Aux origines des génocides di vingtième siècle        4

INTRO

Une guerre asymétrique = conflit militaire qui voit la confrontation entre deux forces dont les moyens et les buts sont incomparables : une armée régulière représentait un Etat et des troupes dispersées d’un parti. [pic 3]

L’ennemi des forces conventionnel = pas la guerre comme on l’entend en Europe. Que ce soit par les moyen déployé ou par les moyens d’opération elle est souvent le propre d’une guerre civile ou l’occupation d’un Etat par une autre situation dans laquelle l’armée de d’un Etat a été détruite par celle d’un autres. Ou bien encore les guerres coloniales ou de libération.

Ma frontière entre le civil et le militaire n’est plus avec l’effacement de la notion de front et la suspension des lois de la guerre et de la criminalisation du fait militaire

  • Pour Charles E Callwell dans petites guerre = la tactique favorise l’armée régulière tandis que la stratégie favoris l’ennemi. L’armée régulière est souvent battue car il n’y a pas de victoire possible sur le territoire militaire.
  1. Ennemis et armée : les configurations de la guerre de conquête Coloniale
  1. Quel ennemi dans la « terra nullius »

C’est à partir du milieu du 19e qu’on reprend la conquête coloniale interrompu avant par les guerres napoléoniennes. L’Europe se réduit à quelque territoire mais cela change donc avec ce nouveau mouvement de colonisation. C’est la conquête de l’Algérie par la France. Régime de Charles X = à bout de souffle et veut mener une politique étrangère. Pendant la monarchie de juillet il y a cette conquête de l’Algérie = colonie de peuplement = c’est une petite guerre.

Afrique, 1878 = lieu de rivalité entre les puissance Européenne notamment entre la France et le Royaume unis = la conférence de Berlin veut régler tout ça elle prévoit que les puissances reconnaissent l’obligation d’assurer dans les territoires occupe par elles sur les cotes du continent africain l’existence d’une autorité suffisante pour faire respecter ses droits acquis.

La conférence de Berlin : marqua l’organisation et la collaboration européenne pour le partage et la division de l’Afrique. Aussi connue comme la conférence de l'Afrique de l'Ouest, elle commença le 15 novembre 1884 à Berlin et finit le 26 février 1885. A l'initiative du chancelier Otto von Bismarck, l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie, la Belgique, le Danemark, l'Empire ottoman, l’Espagne, la France, la Grande-Bretagne, l’Italie, les Pays-Bas, le Portugal, la Russie, la Suède-Norvège ainsi que les États-Unis y participèrent. Une conférence antérieure fit commencer le débat sur la partition des Congo. La conférence de Berlin aboutit principalement à édicter les règles officielles de colonisation. L’impact direct sur les colonies fut une vague européenne de signatures de traités.[pic 4]

Toute l’Afrique est placée dans un système colonial (carte)

La conquête va suivre plusieurs modalités =  [pic 5]

  • Accord diplomatique (placement sous protectorat = def) signature de traité justifié par le droit des nations il y a un contrat social qui donne un certain nombre de droit il peut être instauré dans les états. Il peut y avoir des négociations dans la colonisation. Les locaux sont conseillés par des missionnaire comme moshoeshoe chef des Dothos en Afrique du sud qui fait entendre sa voix jusqu’à Londres grâce à des missionnaires protestants.  C’est aussi le cas de Samori Touré fondateur de l’empire mobile de wassoulou entre le Sénégal, soudant français. Il signe le traité avec l’idée de renforcer son armée et sa défense.  Witvooi chef du Namaqualand qui fait valoir dans sa correspondance avec les officiers allemands une conception égalitaire des relation internationales en 1896 « pour moi faire la paix signifie que chaque partie engagée… »

Protectorat : il se distingue de la colonie dans la mesure où un territoire colonisé subit une administration directe et fait partie intégrante de la métropole, tandis que le territoire sous protectorat conserve, du moins sur le plan interne, une relative autonomie. Il s'agit ainsi d'une autre forme de domination qui, tout en maintenant la structure gouvernementale et administrative locale, permet à une puissance d'exercer certains pouvoirs et certains contrôles. Sur le plan international, l'État protecteur assure toujours la représentation diplomatique et la protection des ressortissants ; il assume seul la responsabilité internationale (en Tunisie, les diplomates accrédités auprès du bey restaient en relation avec le résident général, et les traités étaient passés par le gouvernement français au nom du bey). En fait, le régime du protectorat dépasse souvent les limites qui lui sont assignées en théorie. 

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