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Histoire; XVIIIe siècle

Cours : Histoire; XVIIIe siècle. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Février 2019  •  Cours  •  1 030 Mots (5 Pages)  •  391 Vues

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Histoire :

3.2 : politique religieuse

 face au protestantisme :

  • Beaucoup de mystiques
  • Le clergé respecte les règles
  • La formation du clergé s’améliore dans les séminaires
  • Nouveau rôle de l’église : la charité (hôpitaux, asiles...)
  • Plus de troubles religieux dès la fin du règne de Louis XIV
  • Les protestants ont cessé toute forme d’opposition dès 1629.
  • Les protestants ont une attitude loyale face au roi dès 1621.
  • Les catholiques critiquent les protestants et se demandent comment être protestants et bons servants du roi.
  • Louis XIV se demande, comme les catholiques, être bons servants du roi.
  • On fait détruire certains temples protestants en dehors des territoires autorisés, interdiction pour les protestants d’être maîtres, l’Église organise des missions pour encourager à abandonner le protestantisme.
  • Mme de Maintenon et Louvois influencent Louis XIV à prendre des mesures et sont plus dures avec les protestants.
  • Interdiction des réunions faites par les protestants et ne peuvent plus accéder à certains métiers (imprimeurs, juges, intendants)
  • Les écoles protestantes sont fermées, les mariages mixtes sont interdis, les protestants doivent héberger les armées de passage.
  • 1685 : L’Édit de Nantes est révoqué, le protestantisme est interdit. Fin de liberté de cultes, les protestants sont considéré comme rebelles, ils vont fuir.
  • Dans les campagnes, on reste attachés au protestantisme et on ne peut pas émigrer (leurs terres). Le roi envoie des soldats pour dissoudre cette rebellion dirigé par De Villars. Dans les Cévennes, les rebelles s’appellent les camisards.
  • Le protestantisme subsiste dans la pratique.

           

 face au jansénisme :

  • Ne veut pas que le pape s’implique trop dans l’église en France.
  • Louis XIV suit cette pensée : le gallicanisme.
  • Le mouvement gallican s’éteint au moment où Louis XIV et le Pape se rapproche à cause des protestants.
  • Le quiétisme estime que seule la contemplation de Dieu n’importe pas le besoin de la pratique.
  • Le jansénisme est important. Il touche même à la littérature.
  • L’importance de la grâce divine dans le salut des individus implique le questionnement des conflits théologiques.
  • L’évêques hollandais Jansen reprend le commentaire de Saint-Augustin. Il estime que la grâce divine est essentielle. (Livre Augustins), accordé qu’un petit nombre d’hommes qui doivent montrer la perfection. Le centre de cette pensée, il y a un rapprochement avec le protestantisme. Au couvent du Port-Royal, on appelle les gens qui y ont sont les solidaires.
  • Les jansénismes gagnent de l’influence sur la population (bourgeois, parlementaire, bas-clergé). Il forme un parti jansénisme qui va se développer.
  • L’église se méfie. On craint un déchirement comme avec les protestants.
  • Richelieu et Mazarin se méfiaient et avaient prévu les rois.
  • 1663 : publication de l’édit pontifical qui condamne 3 pensées jansénistes.
  • 1701 : la polémique reprend, le pape condamne fermement le janséniste. La repression va commencer (armées, polices) évacuent port-royal et le détruisent. Les jansénistes. Les jansénistes ne perdent pas tout.
  • 1713 : Il y a une nouvelle condamnation pour le pape.
  • Le jansénisme n’a pas disparu. Il est anéanti, le ressort est plus fort et organisé.

3.4 : Le grand siècle :

les 3 odres de la société française :

La noblesse :

  • Noblesse de sang :
  • Hérité ses titres depuis le moyen-âge
  • Présente à la cour
  • Domestiquée par le roi
  • Noblesse de fonction de robe
  • Bourgeois enrichis
  • Annoblis par le roi
  • Par alliance ou mariage
  • Détient tous les postes clés (et veulent les garder par hérédité)
  • Autres noblesses : d’armée, de province (reste sur les terres)
  • Dynastie fonctionnaire

Le Clergé :

-         Haut-clergé :

  • Gens de la noblesse, proche du roi
  • Le roi choisit les évêques.
  • Riche est puissant, il est mêlé à la politique

-         Bas-clergé :

  • La bourgeoisie ou le peuple
  • Les conditions de vie sont mauvaises.
  • Petit salaire : portion corgrue
  • Enfant consacré à la religion dans les grandes familles

Tiers-Etat : (3 groupes)

  • 90% de la population
  • Accablé d’impôts
  • Sentiment de mécontentement
  1. Bourgeoisie :
  • Classe dynamique
  • Dans les villes
  • Connait quelques crises sous Louis XIV
  • Économie
  • Très varié au niveau des gens, de la fortune
  1. Les ouvriers
  • La plupart des ouvriers sont des employés (campagnols) d’un patron. Les horaires sont écrasants et le salaire est misérable
  • 17 mio
  1. Les paysans :
  • La classe la plus importante.
  • Quelques propriétaires vivent bien mais les autres galèrent
  • Lois négatives pour eux (interdictions de la chasse)
  • Une partie des récoltes vont au roi
  • Risque de la destruction des champs
  • Impôts lourdes avec un faible revenu
  • Tirage au sort pour recruter des armées royales
  • 1685 : crise économique qui les touche, pauvreté, mendicité
  • Situation économique mauvaise à partir de là.
  • Éléments économiques qui couvrent la révolution

Classicisme dans les lettres et les arts :

  • Siècle de Louis XIV, temps qu’il a passé à la tête du pays
  • Fin de la période baroque (dysmétrie)
  • Arts et littérature plus réfléchi
  • Plus symétrique, réfléchi, rigoureux
  • Assez moraliste : honnête homme
  • Raisonnable, pondéré, bon gout
  • Opposition avec le 18ème 
  • Cherche un équilibre

Conclusion :

  • Montesquieu : règne de Louis XIV, si long qu’on ne s’en souvient du début
  • Fin du règne sombre, contrairement au début qui était plus clair
  • Économie, revers, vie de cœur négative, plus de gaieté
  • Comme libéré d’un tyran
  • Population mécontente
  • Joie à la mort de Louis XIV
  • Sorte de libération
  • Éclatement de l’exubérance
  • Gaieté
  • Liberté religieuse
  • Critique de Louis XIV dans les poèmes
  • France a perdu la prébende politique et étrangère
  • Reste influencer par le français, philosophe et étrangère
  • Au 18ème, on se limite à la primélacie intellectuelle de la langue

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