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Discours fictif

Discours : Discours fictif. Recherche parmi 302 000+ dissertations

Par   •  27 Mai 2025  •  Discours  •  1 080 Mots (5 Pages)  •  106 Vues

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Ce discours fictif est prononcé en 1887 par le général Georges Boulanger, figure de la droite nationaliste, ancien ministre de la Guerre sous la Troisième République. Il s’adresse à un public de militaires, de notables et de citoyens patriotes réunis à l’Hôtel de Ville de Paris.

Dans un contexte d’expansion coloniale de la France en Afrique, en Asie et dans les îles, Boulanger défend ici la colonisation comme un moyen de restaurer la grandeur nationale, tout en reconnaissant certains abus. Son discours reflète les valeurs nationalistes de son camp : autorité, patriotisme, mission civilisatrice.

Mesdames, Messieurs, Français patriotes,

La France souffre. Depuis la honte de 1870, elle vacille, divisée, humiliée, rongée par les bavardages des politiciens de salon et les lâchetés d’une République sans colonne vertébrale. Mais il est encore temps. La colonisation est notre revanche. Elle est notre levier, notre glaive, notre cri d’orgueil face à un monde qui doute de notre force.

La République hésite, parlemente, tergiverse. Moi, je dis : allons-y ! Marchons ! Conquérons ! Car une nation qui ne s'étend plus, qui ne combat plus, meurt à petit feu. Ce discours fictif est prononcé en 1887 par le général Georges Boulanger, figure de la droite nationaliste, ancien ministre de la Guerre sous la Troisième République. Il s’adresse à un public de militaires, de notables et de citoyens patriotes réunis à l’Hôtel de Ville de Paris.

Dans un contexte d’expansion coloniale de la France en Afrique, en Asie et dans les îles, Boulanger défend ici la colonisation comme un moyen de restaurer la grandeur nationale, tout en reconnaissant certains abus. Son discours reflète les valeurs nationalistes de son camp : autorité, patriotisme, mission civilisatrice.

Mesdames, Messieurs, Français patriotes,

La France souffre. Depuis la honte de 1870, elle vacille, divisée, humiliée, rongée par les bavardages des politiciens de salon et les lâchetés d’une République sans colonne vertébrale. Mais il est encore temps. La colonisation est notre revanche. Elle est notre levier, notre glaive, notre cri d’orgueil face à un monde qui doute de notre force.

La République hésite, parlemente, tergiverse. Moi, je dis : allons-y ! Marchons ! Conquérons ! Car une nation qui ne s'étend plus, qui ne combat plus, meurt à petit feu. Ce discours fictif est prononcé en 1887 par le général Georges Boulanger, figure de la droite nationaliste, ancien ministre de la Guerre sous la Troisième République. Il s’adresse à un public de militaires, de notables et de citoyens patriotes réunis à l’Hôtel de Ville de Paris.

Dans un contexte d’expansion coloniale de la France en Afrique, en Asie et dans les îles, Boulanger défend ici la colonisation comme un moyen de restaurer la grandeur nationale, tout en reconnaissant certains abus. Son discours reflète les valeurs nationalistes de son camp : autorité, patriotisme, mission civilisatrice.

Mesdames, Messieurs, Français patriotes,

La France souffre. Depuis la honte de 1870, elle vacille, divisée, humiliée, rongée par les bavardages des politiciens de salon et les lâchetés d’une République sans colonne vertébrale. Mais il est encore temps. La colonisation est notre revanche. Elle est notre levier, notre glaive, notre cri d’orgueil face à un monde qui doute de notre force.

La République hésite, parlemente, tergiverse. Moi, je dis : allons-y ! Marchons ! Conquérons ! Car une nation qui ne s'étend plus, qui ne combat plus, meurt à petit feu. Ce discours

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