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Principaux mouvements littéraires

Compte rendu : Principaux mouvements littéraires. Recherche parmi 302 000+ dissertations

Par   •  30 Mai 2025  •  Compte rendu  •  6 411 Mots (26 Pages)  •  37 Vues

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INTRODUCTION

  1. L’approche en termes de soutenabilité faible suggère un degré de compatibilité élevé entre croissance et préservation de l’environnement
  1. La soutenabilité faible repose d’abord sur l’intégration des contraintes environnementales dans un calcul économique standard
  2. Mais l’environnement étant le plus souvent une « externalité », il faut lui donner une valeur pour pouvoir l’internaliser
  3. L’optimisme technologique ou l’espoir d’un découplage entre croissance et impacts environnementaux
  4. Quand la prise en compte de l’environnement génère de nouvelles activités
  1.         L’approche en termes de soutenabilité forte conduit à la nécessité de fixer des limites aux activités économiques

2.1. Variations sur le thème des limites

2.2 Une analyse systémique et dynamique de la préservation de l’environnement

2.3 L’impossible découplage ?

2.4. Les indicateurs « globaux », exprimés en termes d’empreinte, restent fortement corrélés au niveau de vie et de développement

2.5 Et l’homme, dans tout ça ?  

2.6 Prendre au sérieux la soutenabilité forte conduit à remettre radicalement en cause l’idée de développement soutenable

  1. Les outils de la politique environnementale
  1. L’Etat peut influer sur l’allocation des ressources au moyen de contraintes imposées aux acteurs privés
  1. Des normes « rigides » (contraignantes)
  2. Possibilités de normes « souples »
  1. Solutions relevant des incitations
  1. Internaliser les externalités négatives et positives au moyen de taxes ou de subventions
  2. Mettre en place un marché des droits à polluer
  1. Que faire dans le cas des biens communs et collectifs ?
  2. Les défis de la gouvernance environnementale globale
  3. Qui paiera ?
  4. La prise en compte de la justice sociale apparaît comme un levier indispensable à l’acceptabilité des politiques environnementales

« Moi j'appelle à la pause réglementaire européenne. » Emmanuel Macron 11 Mai 2023

« Le concept de réchauffement global a été inventé par et pour les Chinois de manière à rendre l’économie manufacturière américaine non compétitive. » Trump, tweet du 6 novembre 2012 (il quittera l’accord de Paris le 1er juin 2017, 4 mois environ après son investiture)

Atteintes à l’environnement plus larges :

  • Accidents industriels Tchernobyl en 1986, Deepwater Horizon en 2010, Fukushima en 2011
  • Epuisement des sols On estime encore que 20% des terres sont contaminées en Chine
  • Pertes de biodiversité La biodiversité est estimée autour de 1,75 millions d’espèces connues (peut-être 10 millions d’espèces au total). La biodiversité terrestre globale, a globalement baissé de 52 % entre 1970 et 2010
  • Pollution de l’eau, de l’air, du sol
  • Climat Concept d’anthropocène développé par Crutzen (impacte des activités humaines)
  • Surexploitation des ressources Terres rares, ressources minière, surpêche, déforestation… Le déboisement ou la déforestation ont par exemple conduit à la disparition de 6 millions d’hectares par an de forêts primaires depuis 2000
  • MIGRATIONS : selon l’OIM les catastrophes climatiques pourraient provoquer le déplacement d’environ 250 millions de personnes d’ici 2050.

Apparition de la soutenabilité en économie : 

Dès le XVIIIème, la rareté de certaines ressources, la terre en l’occurrence, avait attiré l’attention des économistes physiocrates + Malthus dans son Essai sur le principe de population de 1798

Effet de serre connu depuis le XIXe (Fourier J.-B., « Remarques générales sur les températures du globe terrestre et des espaces planétaires », 1824).

- Crainte autour de la raréfaction du charbon qui pourrait limiter l’expansion de l’économie britannique.     Raréfaction => renchérissement => hausse des coûts pour l’industrie => perte de compétitivité.

Prémices de la préservation de l’environnement :

1972 : rapport Meadows du club de Rome => La croissance ne peut être infinie dans un monde fini 

Trois piliers du DD : économique, social, environnemental

1988 : Création PNUE & GIEC => limiter la hausse des températures à 1.5 degrés passant par une réduction des émissions du co2 de 45% d’ici 2030

+ dimension intergénérationnelle. Peu d’impact à l’échelle d’une vie humaine => changements écologies sur le temps long, décision économique à court terme.

La dégradation de l’environnement fait courir un « risque physique » : destruction de capital et perte de PIB résultant du changement climatique et de l’érosion de la biodiversité

        

  1.         L’approche en termes de soutenabilité faible suggère un degré de compatibilité élevé entre croissance et préservation de l’environnement
  1. La soutenabilité faible repose d’abord sur l’intégration des contraintes environnementales dans un calcul économique standard

Gro Harlem Brundtland « le développement durable répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs »

Soutenabilité faible : la diminution du capital naturel du à la production et à la pollution doit être compensé par une augmentation proportionnelle de capital crée par l’Homme afin de garantir un stock équivalent au futur

Modélisations de la substituabilité

Néoclassiques => épuisabilité des ressources naturelles => intégration de l’environnement dans l’équilibre général Walrasien

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