Ile de la Réunion

HGGSP

Consigne : Montrer que toute protection/sanctuarisation ne rime pas avec protection exemple de la forêt de Mare Longue sur l’île d la Réunion une forêt morte-vivante. (4 min) Synthèse de vingt lignes aussi.

Faites une conclusion sur le rapport mise en valeur/préservation/sanctuarisation de la forêt en tirant une règle de la gestion environnementale.

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La dernière forêt tropicale originel de l’île de la Réunion, ou autrement surnommé la forêt « mort-vivante », se situe à Mare-Longue au Sud-Est de l’île sur les contreforts du volcan. Cette forêt, est un trésor de la biodiversité pour plusieurs raisons, tout d’abord c’est l’une des forêts les plus anciennes au monde, puis elle est sur une coulée de lave, dans une Île au milieu de l’océan indien, c’est unique au monde. Néanmoins, malgré une protection de cette forêt, elle reste encore en danger à cause des animaux qui ne vivent plus dans cet environnement. Celle-ci est dut à cause des hommes durant la colonisation en 1665, mission confiée à la Compagnie Oriental des Indes par Louis XIV. Depuis leur passage, lézards, oiseaux, perroquets sont éteint donc elle ne contribue pas à la biodiversité. Les colons ont provoqué une invasion biologique. En effet, la forêt mort-vivante est la dernière forêt primaire de l’île de la Réunion, par conséquent les hommes ont décider de ne pas contribuer à des activités humaines afin de préserver le plus possible. Cependant, comme les animaux ont disparu afin de contribuer à la biodiversité, la forêt commence à mourir peu à peu, en dépit des fruits qu'elle produit. En revanche, même si une forêt est conservée ou même protégée, une forêt peut ne pas se régénérer. Par conséquent, malgré une protection sur ce trésor de l’île de la Réunion, celle-ci ne rime pas forcément avec une protection qui agit positivement, comme nous le démontre la forêt Mare-Longue.

Enfin, Grâce au suivi régulier effectué par les équipes de l’université de La Réunion, du Cirad, de l’ONF et du Parc national de La Réunion, les scientifiques espèrent valoriser ce travail en intégrant un réseau international.) De nombreuses recherches scientifiques sont menées grâce à ce travail collaboratif. Si les parcelles étudiées à Mare Longue intègrent le réseau, les écologues réunionnais espèrent en apprendre davantage ces prochaines années sur cette forêt primaire et pouvoir la comparer à d’autres systèmes similaires dans le monde. Par conséquent, il faut impérativement protéger cette forêt en s’articulant avec des acteurs comme l’ONF. Car la forêt de Mare-Longue est une rareté, qu’il fait préserver.

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